Voir les donateurs de Sorin ICI https://sovrin.org/membership/ « Cela fait des dizaines d’années que les dirigeants suisses (ailleurs c’est pareil) travaillent à paver le chemin d’un Agenda 2030, ou de n’importe quoi d’autre, du moment que cela parle de développement durable. Dans un rapport approuvé par le Conseil fédéral, il est dit « L’Agenda 2030 a valeur universelle et ses objectifs de développement durable (ODD) sont intégrés et indivisibles. En les adoptant, tous les États se sont engagés à les réaliser ensemble d’ici 2030, chaque pays y contribuant de manière appropriée au niveau national et international. Il en va de même pour la Suisse qui, depuis 2016, a fait de l’Agenda 2030 le cadre de référence de sa politique en matière de développement. Elle entend poursuivre
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« Cela fait des dizaines d’années que les dirigeants suisses (ailleurs c’est pareil) travaillent à paver le chemin d’un Agenda 2030, ou de n’importe quoi d’autre, du moment que cela parle de développement durable. Dans un rapport approuvé par le Conseil fédéral, il est dit « L’Agenda 2030 a valeur universelle et ses objectifs de développement durable (ODD) sont intégrés et indivisibles. En les adoptant, tous les États se sont engagés à les réaliser ensemble d’ici 2030, chaque pays y contribuant de manière appropriée au niveau national et international. Il en va de même pour la Suisse qui, depuis 2016, a fait de l’Agenda 2030 le cadre de référence de sa politique en matière de développement. Elle entend poursuivre la réalisation de l’Agenda 2030 en accord avec d’autres processus internationaux qui contribuent à la transition vers une société durable et résiliente. »
Ces dizaines d’années, qui ont introduit le changement du paradigme en matière de gouvernance du territoire helvétique, ont servi à augmenter la résilience du peuple. Celui-ci peut bien s’énerver en décelant des bizarreries, mais ses réactions se limitent à une expression sur les réseaux sociaux ou dans le cadre de rencontres très limitées. Personne n’a interpellé les autorités de manière vigoureuse. Ni dans les Chambres, ni dans les tribunaux, ni dans la rue. Effectivement, la société est devenue résiliente à l’image de la grenouille plongée dans une casserole d’eau froide et que l’on cuit doucement. Elle n’a pas l’idée de sauter hors de la casserole, chose qu’elle aurait faite au contact brusque avec une eau bouillante… » Coup d’Etat planétaire – 2019
A gouvernance mondiale, la pièce d’identité universelle
La globalisation de la planète se fait par l’intermédiaire de la digitalisation. D’ailleurs, nous avons vu précédemment et à de nombreuses reprises comment les gouvernants soutiennent la mutation de leurs populations en transhumains ou en cyborgs.
Qui dit transhumanisme dit aussi Smart Cities et Smart Régions, sur fond de e-gouvernement ou cybergouvernement. Et là les dirigeants suisses se donnent beaucoup beaucoup de mal pour connecter les espaces, abattre massivement les arbres qui pourraient ralentir l’efficacité des antennes GSM, édicter toutes sortes de normes au niveau de la rénovation des bâtiments d’habitation, soutenir les populations à quitter les logements classiques pour s’engouffrer dans les éco-quartiers (loyers offerts, intérêts hypothécaires ridicules, etc.), etc. etc.
En Suisse, le gouvernement travaille d’arrache-pied depuis de nombreuses années pour faire muter l’administration fédérale et cantonale en cyber-administration. Ce n’est rien d’autre qu’un montage de structure parallèle à celle qui s’appuie sur la démocratie et la Constitution. Et cela dure depuis de nombreuses années sans que le grand public n’en sache quoi que soit.
Nous avons eu l’occasion de signaler que le développement du e-gouvernement suisse n’a pas de base législative ou constitutionnelle. Il est basé sur des contrats-cadres. Ca tombe bien puisque la Suisse, officiellement une Confédération, est actuellement inscrite dans un Registre de Commerce HORS du pays. Ce qui signifie que les citoyens ont des paquets de problèmes cumulés.
Le Suisse doit donc devenir un citoyen universel digitalisé. Le modèle prévoit la chose depuis de nombreuses décennies. Rappelons que la globalisation dans laquelle nous avons été propulsés correspond à la mise en place d’un Système-Monde et celui-ci s’appuie sur la digitalisation de TOUT et de TOUS. Et celui-ci a besoin d’attribuer une identité à ses membres, et un répertoire de leurs profils (professionnels, éducatifs, comportementaux, génétiques, etc.) Voici un exemple. Il nous vient de l’ONU et n’a rien à voir avec le Covid puisque l’animation ci-dessous a été postée début mars 2020 (UN Digital Solutions Centre). Tout était déjà prêt.
En novembre 2020, c’est l’Identity Card que l’ONU présente. Et celle-ci est porteuse d’un nombre conséquent d’informations personnelles (y compris médicales!) et professionnelles . Cet outil doit être pris en compte en pensant au carnet scolaire numérisé de l’enfant!
Evidemment que les assureurs, logeurs, et autres partenaires pourraient y avoir accès aussi. Pensez à toutes ces données qui sont d’ores et déjà -hackées ou pas- vendues pour une poignée de dollars.
En Suisse, le peuple a dit NON à l’e-ID
Le 7 mars 2021, le peuple a dit massivement NON au Conseil fédéral au sujet d’une carte d’identité émise par des privés. Le problème va au-delà de la simple privatisation de la carte d’identité. Nous ne voulons pas devenir des cyborgs connectés en permanence dans un environnement sous haute surveillance par la technologie. https://www.ictjournal.ch/news/2021-03-09/rejet-de-la-loi-sur-le-id-reactions-et-nouveaux-projets
Nous ne voulons pas du modèle qui définit le cadre de la mission individuelle et collective de M Berset, de ses collègues du jour, et de ses prédécesseurs. De quel droit a-t-on élaboré un projet sans nous consulter, et surtout sans nous présenter l’image finale.
Bref, Sans ce sésame électronique, le projet de M Berset et des autres parties prenantes de la compagnie Suisse peut piquer du bec. Alors voici en quoi consiste l’idée du Conseil fédéral pour contourner le blocage. On a introduit quelques jours après le rejet par le peuple de l’e-ID un petit article dans la Loi sur laquelle le peuple doit se prononcer le 13 juin. Problème, l’alinéa en question n’a pas été communiqué aux votants! Sans la vigilance des citoyens, ce Conseil fédéral aurait pu réussir son coup, qualifié par certains éminents juristes de diabolique. Mme Sandoz a été professeur de Droit et Doyenne de la Faculté de Droit de Lausanne.
Voici le petit article glissé vite fait qui coûte à la Suisse sa réputation en matière de démocratie tant cette présence est choquante aussi bien au niveau du fond que de la forme. Nous avions l’habitude de la manipulation dans un contexte de votations, mais là quelque chose au niveau de la confiance dans ces dirigeants est brisée, d’autant plus que ce sont les mêmes personnages qui approuvent les statistiques publiques frauduleuses ainsi que leurs conséquences désastreuses..
Art. 6a21 Certificat sanitaire
1 Le Conseil fédéral définit les exigences applicables au document prouvant que son titulaire a été vacciné contre le COVID-19, qu’il en est guéri ou qu’il dispose d’un résultat de test du dépistage du COVID-19.
2 Ce document doit être délivré sur demande.
3 Il doit être personnel, infalsifiable et, dans le respect de la protection des données, vérifiable; il doit être conçu de manière que seule une vérification décentralisée ou locale de son authenticité et de sa validité soit possible et qu’il puisse, dans la mesure du possible, être utilisé par son détenteur pour entrer dans d’autres pays et en sortir.
4 Le Conseil fédéral peut régler la prise en charge des coûts du document.
5 La Confédération peut mettre un système pour la délivrance du document à la disposition des cantons et de tiers.
21 Introduit par le ch. I de la LF du 19 mars 2021 (Cas de rigueur, assurance-chômage, accueil extra-familial pour enfants, acteurs culturels, manifestations), en vigueur du 20 mars 2021 au 31 déc. 2022 (RO 2021 153; FF 2021 285).
https://www.fedlex.admin.ch/eli/cc/2020/711/fr#art_6_a
Cela ne s’appelle plus e-ID, mais certificat sanitaire, ou mieux passeport sanitaire numérique. Et comme ils voudront être en conformité avec Bruxelles pour « faciliter » la circulation, etc. il suffit de regarder celui qui sera en place en Europe en juillet pour savoir ce que nous réserve nos administrateurs délégués fédéraux.
Même si une info de l’AFP du mois d’avril disait que l’OMS n’était pas favorable au caractère obligatoire du passeport vaccinal, nous prenons au sérieux cet article de France
Et derrière tout ce petit monde, nous retrouvons ID 2020, une organisation où les grandes multinationales sont massivement représentées, à commencer par Microsoft.
Maintenant, regardons l’alinéa 3 de cet article 6a
Le tout sur fond de blockchain tant désiré par la haute finance internationale fortement représentée dans ID 2020.
Grande déception donc de notre Conseil fédéral qui nous envoie dans une aventure dont nous ne voulons pas, mais surtout (et c’est le reproche essentiel) dont il ne nous informe pas!
LHK
https://lilianeheldkhawam.com/2020/04/05/la-haute-finance-prend-le-controle-de-votre-sante-lhk/
Est ce que le passeport santé numérique est le sésame dont rêvent les mondialistes?
Bientôt un identifiant numérique pour tous ? Les Echos 2019
Entreprises, institutions internationales et ONG rêvent d’un système mondial permettant d’authentifier l’identité de n’importe qui, n’importe où.
Par Jacques Henno
Comment prouver que je suis bien moi, dans la vraie vie ou sur Internet ? La réponse à cette question vaut aujourd’hui plusieurs dizaines de milliards d’euros, tant l’identification est devenue indispensable dans notre monde connecté. Les transactions (paiements, formalités administratives…) sont dématérialisées et doivent être authentifiées par des plates-formes parfois situées à l’autre bout de la planète. Et les sites Web sont de plus en plus soumis à des obligations de KYC (« Know Your Customer »). Cette vérification de l’identité de leurs clients leur est imposée dans le cadre de la lutte contre les fake news, la fraude fiscale, le financement du terrorisme…
D’où l’idée de quelques Etats, organismes internationaux ou entreprises de proposer une identité numérique unique qui permettrait à tout le monde de s’identifier, partout. Le support de cette identité pourrait être électronique (sous forme de carte à puce ou sans contact…) ou purement digital (une suite de chiffres). L’identifiant serait validé grâce à des données biométriques, financières (compte bancaire) ou à un profil Internet (compte Facebook, Google…). Il donnerait accès à l’état civil, aux informations de santé, financières, etc., de son propriétaire.
« C’est un vieux serpent de mer, relativise Cédric Lauradoux, chargé de recherche au sein de l’équipe Privatics (respect de la vie privée) à Inria Grenoble-Rhône-Alpes. A l’exception de quelques pays comme l’Estonie ou l’Inde, aucun projet n’a abouti, car les freins à l’usage de ces technologies sont nombreux. » En particulier, elles suscitent beaucoup de craintes : surveillance de masse ; fuite, croisement ou revente de données ; cyberattaques…
Un milliard d’êtres humains sans papiers d’identité
Malgré cette méfiance, les travaux de recherche se multiplient. Ils proviennent du secteur privé, d’organismes internationaux, d’ONG ou de consortiums dédiés à cette thématique ( Decentralized Identity Foundation , Fast Identity Online Alliance …). Du côté des entreprises, l’annonce la plus emblématique est venue, tout récemment, du réseau de paiement américain Mastercard .
Netexplo met à l’honneur la « tech for good »
Côté expérimentations, les organismes internationaux sont plus en avance. L’ONU (Organisation des Nations unies) s’est fixé comme objectif de fournir d’ici à 2030 une identité légale au milliard d’êtres humains qui n’ont pas de papier d’identité du tout. Une volonté qui n’est pas totalement désintéressée : beaucoup d’agences des Nations unies sont confrontées à des populations déplacées et sans papier, ce qui peut être source d’erreurs ou de fraudes lors de la distribution des aides. Ainsi, les programmes alimentaires de l’ONU délivrent chaque année plus de 12 milliards de rations à près de 80 millions de personnes. « Nous avons mis au point pour leurs agences des cartes sans contact contenant l’identité, la photo et les empreintes digitales des bénéficiaires. 15 millions de personnes l’utilisent, détaille Lionel Baraban, directeur général de Famoco, une entreprise parisienne spécialisée dans les terminaux professionnels sécurisés. Les coûts des procédures de contrôle ont diminué de 74 % par rapport à une identité papier. »
La blockchain à l’étude
Le HCR (Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés) cherche lui aussi à créer un moyen d’identification crypté, permanent et partageable pour les quelque 20 millions de personnes dont il a la charge. Avec ID2020, un partenariat public privé basé à New York , rassemblant entre autres Accenture, Microsoft, la Fondation Rockefeller et des ONG, il étudie les avantages de la blockchain. « L’idée est d’utiliser la blockchain comme une sorte de registre infalsifiable qui permettrait au réfugié d’autoriser tel ou tel organisme à accéder des données personnelles spécifiques », explique Giuseppe Giordano, un des responsables d’Accenture Labs, à Sophia-Antipolis.
Des recherches qui pourraient demain s’appliquer à tout le monde. « Les besoins en identification sont similaires dans les pays en voie de développement et les pays développés : en fonction des circonstances de la vie, les personnes se déplacent, traversent des frontières… », résume Dakota Gruener, directrice exécutive d’ID2020.
Blockchain : la France rêve de devenir la référence mondiale
Autant d’expérimentations qui ont donné à certains responsables l’idée de fournir directement une identité digitale à toutes les personnes actuellement sans papier à travers le monde. Une initiative soutenue en particulier par la Banque mondiale . « Cela coûtera 9 milliards de dollars [NDLR : 8,07 milliards d’euros], détaille Vyjayanti Desai, responsable du programme ID4D (Identification for Development) de la Banque mondiale, à Washington. Une trentaine de pays ont lancé des études en ce sens : nous leur fournissons une aide technique ou financière. » La Banque mondiale a prévu de débloquer au total 1 milliard de dollars pour ce programme. Le 12 avril dernier, elle avait organisé une conférence sur ce projet. Un jury a récompensé les meilleures idées pour déployer une identité numérique, tout en protégeant les données et la vie privée.
Compléments
2. Côté suisse, le carnet de vaccination électronique de Mme Siegrist est toujours hors service…. Ce qui est une bonne chose compte tenu de tous les conflits d’intérêts que l’on a mis au jour…