[embedded content] La planète terre, biosphère comprise, a été globalisée. La globalisation, concept mal connu et peu diffusé, a permis à l’élite financière de déployer une technologie extraordinaire à travers la planète qui fait quitter le monde des nations pour entrer de plain-pied dans un monde-système. Cette vidéo vous montre l’infrastructure essentielle à la globalisation. C’est par elle que les échanges de données traversent le globe librement pour finir dans les réservoirs du Big data des GAFAM. L’argent pléthorique de ces entités qui ne connaissent pas la crise du COVID-19 (bien au contraire), couplé à l’incalculable pouvoir de la collecte des données de toutes sortes, permettent à des entités privées de désarmer les gouvernements nationaux. In fine ces derniers deviennent des
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La planète terre, biosphère comprise, a été globalisée.
La globalisation, concept mal connu et peu diffusé, a permis à l’élite financière de déployer une technologie extraordinaire à travers la planète qui fait quitter le monde des nations pour entrer de plain-pied dans un monde-système.
Cette vidéo vous montre l’infrastructure essentielle à la globalisation. C’est par elle que les échanges de données traversent le globe librement pour finir dans les réservoirs du Big data des GAFAM.
L’argent pléthorique de ces entités qui ne connaissent pas la crise du COVID-19 (bien au contraire), couplé à l’incalculable pouvoir de la collecte des données de toutes sortes, permettent à des entités privées de désarmer les gouvernements nationaux.
In fine ces derniers deviennent des exécutants de l’empire GAFAM.
Et l’humain dans tout cela?
Contrairement à l’ancien monde, l’humanité n’est plus la préoccupation des nouveaux maîtres du monde. Survivront ceux qui apportent une valeur ajoutée au système.
En fait, il apparaît de plus en plus clairement que l’identité de l’individu, et la notion de sacré qui accompagnait la culture judéo-chrétienne, cèderont la place à une évaluation continue de la qualité des réseaux dans lesquels un humain s’insère, sa valeur ajoutée à ce qui est toujours plus appelé « communauté », son comportement plus ou moins respectueux des standards mis en place par le système, la manière dont il s’alimente, la qualité de sa santé (y compris la qualité de son génome), son quotient intellectuel, etc.
Grâce à la digitalisation croissante, qui pourrait finir par être globale, l’individu sera scruté et noté en permanence. Les défaillances, y compris physiques ou mentales, seront considérées comme des échecs.
C’est dans ce contexte que les gouvernants promettent de garantir la protection des données dans le cadre de l’usage de technologies qui visent à assurer la traçabilité pour maintenir les normes de distanciation (Stop-Covid, MP3T par exemple).
Un mensonge inutile car avec la globalisation, les échanges automatiques des données, et le système public de Open data, ces élus qui ont oeuvré à mettre en place ces « législations » n’ont plus aucun pouvoir pour assurer la moindre sécurité de nos données, de leur commercialisation et/ou de tout usage abusif potentiel.
Liliane Held-Khawam
Le câble transatlantique de Google débarque en Vendée. Le Figaro
Le câble long de 6000 kilomètres reliera la Virginie, aux États-Unis, à la France. De ce côté de l’Atlantique, il débarquera à Saint-Hilaire-de-Riez en Vendée.
À chaque fois qu’un internaute européen tape une recherche sur Google, qu’il envoie un mail sur Gmail ou qu’il regarde une vidéo sur YouTube, il consomme de la bande passante entre le Vieux Continent et les États-Unis. Et comme la consommation de données ne cesse de croître, les réseaux des opérateurs télécoms sont de plus en plus encombrés. Google comme ses concurrents des Gafam Facebook et Microsoft ont donc décidé d’investir massivement dans leurs propres câbles sous-marins, véritables autoroutes de l’internet mondial. Facebook et Microsoft se sont alliés pour tendre un câble transatlantique baptisé «Marea» en 2019.
En 2020, c’est au tour de Google de construire le sien, baptisé «Dunant» en hommage au créateur de la Croix-Rouge, Henry Dunant. Et comme le groupe américain aime voir les choses en grands, son câble rassemble 12 paires de fibres (contre 6 ou 8 habituellement), «ce qui lui permettra d’atteindre une vitesse de transmission moyenne inégalée: 250 terabits par seconde, contre 160 pour Marea», rapporte Sciences et Avenir. C’est presque 10 fois plus que les anciens câbles sous-marins. Le câble long de 6000 kilomètres reliera la Virginie, aux États-Unis, à la France. De ce côté de l’Atlantique, il débarquera à Saint-Hilaire-de-Riez en Vendée. Orange, chargé d’installer la partie française et de la connecter au réseau internet français, vient de poser les premiers mètres de câble sur la plage.