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La pression des chiffres (faux) va favoriser une prise de risque sanitaire.

Summary:
Le professeur Neil Ferguson répond aux critiques ICI Cela fait des années que nous publions par petites touches des billets en lien avec le modèle transhumaniste à venir si aucun grain de sable ne devait venir gripper l’engrenage. La Dépossession monétaro-financière, doublée d’un accaparement total et global de l’outil et des processus de production (y compris pour les produits de première nécessité) n’ont aucune fin en eux-mêmes. La finalité est la création d’une double espèce posthumaine autorisée à occuper le globe: les dieux milliardaires en quête d’immortalité et les sous-hommes fusionnés à la machine informationnelle (forcément technologique). Les politiques élus démocratiquement n’ont aucune marge de manoeuvre pour sortir de ce modèle que certains appellent Nouvel Ordre

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Liliane HeldKhawam writes Les enfants dans le collimateur du Nouveau Monde. Enfants volés de GB (Vidéo)

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La pression des chiffres (faux) va favoriser une prise de risque sanitaire.

Le professeur Neil Ferguson répond aux critiques ICI

Cela fait des années que nous publions par petites touches des billets en lien avec le modèle transhumaniste à venir si aucun grain de sable ne devait venir gripper l’engrenage.

La Dépossession monétaro-financière, doublée d’un accaparement total et global de l’outil et des processus de production (y compris pour les produits de première nécessité) n’ont aucune fin en eux-mêmes.

La finalité est la création d’une double espèce posthumaine autorisée à occuper le globe: les dieux milliardaires en quête d’immortalité et les sous-hommes fusionnés à la machine informationnelle (forcément technologique). Les politiques élus démocratiquement n’ont aucune marge de manoeuvre pour sortir de ce modèle que certains appellent Nouvel Ordre Mondial (Bush, Sarkozy, etc).

https://lilianeheldkhawam.com/2016/03/30/la-reorganisation-du-monde-confirmee-par-deux-entretiens-liliane-held-khawam/

Le coeur du modèle biotechnologique (cf NBIC) est de faire muter l’humanité par la prise de contrôle de son corps et de sa pensée. D’où l’intérêt central pour la santé humaine (vaccin/médicament connecté, dossier médical digitalisé, etc.)

https://www.nbcnews.com/mach/tech/elon-musk-wants-hook-your-brain-directly-computers-starting-next-ncna1030631
https://www.lematin.ch/high-tech/cerveau-connecte-teste-an-prochain/story/31386972
https://www.nexus.fr/actualite/technoscience/implants-satellites-5g-technoscience/

Voilà pour la volonté politique qui découle de l’alliance de la Finance-Technologie-Législateur. A partir de là, des assouplissements peuvent être admis vis-à-vis de la rigueur exigée habituellement  par la législation.

La validation scientifique, au coeur de la sécurité sanitaire

La sécurité sanitaire est soumise à un processus de validation scientifique. Durant cette période les produits sanitaires (médicaments et vaccins) à mettre sur le marché subissent tout un tas de tests, évaluations, corrections pour éviter au maximum les effets indésirables sur l’humain.

https://media-exp1.licdn.com/dms/image/C4E12AQGlVGh02um-EA/article-cover_image-shrink_423_752/0?e=1594857600&v=beta&t=ai5rVVE9ToX2ghvuXJYMI58AN4Ays_26iXJu1PplQT0

Processus de validation se déclinant en 3 étapes: Le design avec la définition de ce que l’on cherche à réaliser, la qualification du processus où on va vérifier l’effet sur la cible choisie, puis la vérification/correction continue du processus. Source dessin ICI

L’étape 2 du processus est centrale dans le protocole visant la validation scientifique. Elle permet de mesurer l’efficience du modèle ainsi que ses effets collatéraux indésirables. Avec la phase 3, la validation se poursuit à plus grande échelle dans le but de la normaliser.

Mais voilà, le respect strict de ces phases demande du temps et beaucoup d’argent.

Du coup, la tentation d’en sauter des étapes est devenue de plus en plus grande ces dernières années. Pour imaginer la chose, vous pensez simplement à un nouveau logiciel pas ou peu testé. Vous l’achetez et vous allez faire les frais des bugs qui en temps normal auraient dû être résolus dans les étapes 2 et 3 du dessin. Les dommages collatéraux sont d’autant plus conséquents s’ils ont trait à la santé humaine.

Ces insuffisances péjorent la qualité des produits et des modèles conçus et mis à disposition par le monde scientifique. Voici le commentaire du patron de The Lancet qui dénonçait en 2015 déjà le non respect de la rigueur scientifique sur fond de conflits d’intérêts. (traduction automatique)

Déclaration du Dr Horton dans The Lancet (Source du  texte qui fait foi ICI)

« Beaucoup de ce qui est publié est incorrect. » Je n’ai pas le droit de dire qui a fait cette remarque parce qu’on nous a demandé de respecter les règles de Chatham House. On nous a également demandé de ne pas prendre de photos de diapositives. Ceux qui travaillaient pour des agences gouvernementales ont plaidé pour que leurs commentaires restent particulièrement sans citation, car les prochaines élections au Royaume-Uni signifiaient qu’ils vivaient dans un «purdah» – un état effrayant où de sévères restrictions à la liberté d’expression sont imposées à quiconque sur la liste de paie du gouvernement. Pourquoi le souci paranoïaque du secret et de la non-attribution? Parce que ce symposium – sur la reproductibilité et la fiabilité de la recherche biomédicale, tenu au Wellcome Trust à Londres la semaine dernière – a abordé l’un des problèmes les plus sensibles de la science aujourd’hui: l’idée que quelque chose a fondamentalement mal tourné avec l’une de nos plus grandes créations humaines.

L’argument contre la science est simple: une grande partie de la littérature scientifique, peut-être la moitié, peut tout simplement être fausse. Affligée par des études avec de petits échantillons, de minuscules effets, des analyses exploratoires invalides et des conflits d’intérêts flagrants, ainsi que par une obsession de poursuivre des tendances à la moded’une importance douteuse, la science a pris un tournant vers l’obscurité. Comme l’a dit un participant, «les mauvaises méthodes donnent des résultats».L’Académie des sciences médicales, le Conseil de recherche médicale et le Conseil de recherche en biotechnologie et sciences biologiques ont maintenant mis leur poids de réputation derrière une enquête sur ces pratiques de recherche douteuses. L’endémicité apparente d’un mauvais comportement de recherche est alarmante. Dans leur quête pour raconter une histoire fascinante, les scientifiques sculptent trop souvent des données pour correspondre à leur théorie préférée du monde. Ou ils adaptent des hypothèses pour adapter leurs données. Les éditeurs de journaux méritent également leur juste part de critiques. Nous aidons et encourageons les pires comportements. Notre acquiescement au facteur d’impact alimente une compétition malsaine pour gagner une place dans quelques revues sélectionnées. Notre amour de la «signification» pollue la littérature avec de nombreux contes de fées statistiques. Nous rejetons les confirmations importantes. Les journaux ne sont pas les seuls mécréants. Les universités sont en perpétuelle lutte pour l’argent et le talent, des points finaux qui favorisent des mesures réductrices, comme la publication à fort impact. Les procédures nationales d’évaluation, telles que le cadre d’excellence en recherche, encouragent les mauvaises pratiques. Et les scientifiques individuels, y compris leurs plus hauts dirigeants, ne font pas grand-chose pour modifier une culture de la recherche qui vire parfois près de l’inconduite.


Les mauvaises pratiques scientifiques peuvent-elles être corrigées? Une partie du problème est que personne n’est incité à avoir raison. Au lieu de cela, les scientifiques sont incités à être productifs et innovants. Un serment d’Hippocrate pour la science serait-il utile? N’ajoutez certainement pas plus de couches de paperasse de recherche. Au lieu de modifier les incitations, on pourrait peut-être supprimer complètement les incitations. Ou insister sur les déclarations de reproductibilité dans les demandes de subvention et les documents de recherche. Ou mettez l’accent sur la collaboration, pas sur la compétition. Ou insister sur la pré-inscription des protocoles. Ou récompensez un meilleur examen par les pairs avant et après la publication. Ou améliorez la formation en recherche et le mentorat. Ou mettez en œuvre les recommandations de notre série sur l’augmentation de la valeur de la recherche, publiées l’année dernière. L’une des propositions les plus convaincantes est venue de l’extérieur de la communauté biomédicale. Tony Weidberg est professeur de physique des particules à Oxford. À la suite de plusieurs erreurs importantes, la communauté de la physique des particules investit désormais de grands efforts dans la vérification et la revérification intensives des données avant leur publication. En filtrant les résultats par le biais de groupes de travail indépendants, les physiciens sont encouragés à critiquer. Les bonnes critiques sont récompensées. L’objectif est un résultat fiable, et les incitations pour les scientifiques sont alignées autour de cet objectif. Weidberg craignait de placer la barre trop basse pour des résultats en biomédecine. En physique des particules, la signification est fixée à 5 sigma – valeur ap de 3 × 10–7 ou 1 sur 3, 5 millions (si le résultat n’est pas vrai, c’est la probabilité que les données aient été aussi extrêmes qu’elles le sont) . La conclusion du symposium était que quelque chose devait être fait. En fait, tous semblaient convenir qu’il était en notre pouvoir de faire quelque chose. Mais quant à quoi faire ou comment le faire, il n’y a pas eu de réponse ferme. Ceux qui ont le pouvoir d’agir semblent penser que quelqu’un d’autre devrait agir en premier. Et chaque action positive (par exemple, le financement de réplications bien alimentées) a un contre-argument (la science deviendra moins créative). La bonne nouvelle est que la science commence à prendre très au sérieux certains de ses pires défauts. La mauvaise nouvelle est que personne n’est prêt à faire le premier pas pour nettoyer le système. « (traduction automatique). Richard Horton, rédacteur en chef de The Lancet, un journal médical britannique, 11 avril 2015.

Pour rappel, je vous mets des liens vers des informations déjà publiées ici:
https://lilianeheldkhawam.com/2018/10/09/falsification-scientifique-un-scandale-de-plus-lhk/
https://lilianeheldkhawam.com/2018/07/06/fake-news-la-plupart-des-etudes-sont-fausses/
https://lilianeheldkhawam.com/2015/12/09/le-grand-scandale-de-la-corruption-des-experts-scientifiques-enquete-de-greenpeace/

Voici un échange entre experts qui s’est tenu à la Télévision suisse romande. Ce qui est particulièrement intéressant dans cet échange est l’intervention du pédiatre-vaccinologue Alssandro Diana. Il apparaît que dans le cas du développement du vaccin, une moyenne de 10 ans est nécessaire. Il insiste sur la phase de l’étude d’efficacité exigée par le protocole dans le cadre du développement d’un médicament ou d’un vaccin.

Mais voilà que l’expert présente les résultats d’un sondage en ligne. On en apprend que 25à30% des répondants accepteraient de se faire vacciner avec un produit dit sûr mais sans la phase d’efficacité. Cela signifie que la phase des cobayes est escamotée. (Le débat – Vaccin anti-covid-19: obligatoire? Vidéo ICI)

Les craintes des experts interviewés dans la vidéo de la RTS sont corroborées par d’autres. Nous lisons par exemple:

 Il n’y a aucune raison de mettre des gens en danger dans une étude pour un vaccin sans efficacité », met en garde Karen Maschke, chercheuse au Centre Hastings, un groupe de réflexion non partisan, sur le site STAT.

« Si, contre toute attente, ce projet précipité fonctionne, alors la société devra être encore plus attentive dans la surveillance et le suivi des personnes qui en bénéficient », renchérit Arthur Caplan, responsable de l’éthique médicale à la Grossman School of Medicine de l’université de New York.

NYU Grossman School of Medicine is ranked among the top 5 in the nation for research on the 2021 U.S. News & World Report “Best Graduate Schools” rankings.

Voici deux arguments, certes de bon sens, mais qui interpellent quant aux risques que les autorités du 21ème siècle sont capables de prendre en matière de sécurité sanitaire en sautant des étapes dans tout protocole scientifique classique.

L’argent privé gangrène le monde scientifique et médical

Nous avons vu que l’Imperial College London, où travaille Ferguson, a été abondamment financé par la foundation Gates en 2020.

https://lilianeheldkhawam.com/2020/05/11/un-confinement-douloureux-justifie-par-des-chiffres-faux-lhk/

Mais cet établissement n’est pas le seul à bénéficier des largesses de la fondation. En voici d’autres:

Et ce même monde donne du moût à un Bill Gates prêt à faire vacciner les nouveaux-nés contre le COVID-19.

He said that once the “perfect” vaccine has been developed, a drug that would have high efficacy at preventing the COVID-19 disease, it might become part of the routine newborn immunization schedule.https://bgr.com/2020/05/01/coronavirus-vaccine-bill-gates-explains-progress-and-timeline/

La pression des chiffres (faux) va favoriser une prise de risque sanitaire.

La pression des chiffres (faux) va favoriser une prise de risque sanitaire.

La pression des chiffres (faux) va favoriser une prise de risque sanitaire.

En ce moment l’université  John Hopkins met la pression sur le monde politique. Relayé par l’UNICEF, son modèle prédit la mort de 6000 enfants par jour en six mois, soit un effectif total de 1,2 million!

https://www.letemps.ch/monde/covid19-pourrait-tuer-indirectement-jusqua-6000-enfants-jour-six-mois?utm_source=facebook&utm_medium=share&utm_campaign=article&fbclid=IwAR0w1pIWRMUyQm4H0YkZSZsp6UMPlvZgFcpUuntvblHz65C7FzPd-OJ83no

Il y a quleques semaines, le monde scientifique nous disait que les enfants n’encouraient pas de gros risques face au COVID-19. En se contredisant pareillement, il nous montre qu’il ne maîtrise pas les tenants et aboutissants de ce virus.

La communauté internationale et nationale approuve la réduction des délais de développement et donc du non respect du protocole usuel pour la mise sur le marché des médicaments et vaccins liés au coronavirus.

 Futura Science  nous expliquait récemment que « Dans une réunion à huis clos, les responsables de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) se sont mis d’accord pour autoriser les tests sur les humains avant que les résultats sur les animaux ne soient connus, rapporte un participant à Reuters. Les institutions sont, semble-t-il, prêtes à assumer un risque de quelques cas graves en échange d’un rapide vaccin qui ne sera, au mieux, pas disponible avant le pic de l’épidémie. »

https://www.futura-sciences.com/sante/actualites/coronavirus-coronavirus-dangers-vaccin-elabore-hate-80089/

Ainsi nous comprenons que l’on est en train de vouloir transformer les populations de la planète, c’est-à-dire l’humanité en cobayes pour tester des produits supposés être des vaccins. Oui, supposés, puisque l’on escamote la phase de prise en compte des résultats intermédiaires des tests pour les corriger et réduire les effets indésirables. C’est ce que nous appelons s’arranger avec les protocoles scientifiques respectueux de la validation qui visent minimisation des risques que l’on fait prendre à un être humain.

En plein confinement les 7 dirigeants de la Suisse ont édicté une ordonnance (mars). Il y est dit notamment: https://www.admin.ch/opc/fr/classified-compilation/20200744/index.html

Dans ladite ordonnance nous trouvons les passages suivants sous la section 410 intitulée  » Approvisionnement en biens médicaux importants « :

Art. 4l Exceptions à l’autorisation de mise sur le marché de médicaments

1 En attendant la décision de Swissmedic, les médicaments fabriqués avec les substances actives énumérées à l’annexe 5 et destinés à traiter les patients atteints du COVID-19 peuvent être mis sur le marché sans autorisation si une demande d’autorisation correspondante a été déposée. Dans le cadre de l’examen des demandes d’autorisation, Swissmedic peut autoriser des divergences par rapport aux prescriptions de la législation sur les produits thérapeutiques, si une analyse bénéfice-risque a été effectuée pour ces médicaments.

2 Des modifications de l’autorisation d’un médicament autorisé en Suisse contenant une substance active énumérée à l’annexe 4, ch. 1, et destinée à être utilisée en Suisse pour prévenir ou combattre le coronavirus peuvent être mises en oeuvre immédiatement après le dépôt d’une demande correspondante. Swissmedic peut autoriser des divergences par rapport aux prescriptions de la législation sur les produits thérapeutiques, si une analyse bénéfice-risque a été effectuée pour ces modifications.

4 Si une analyse bénéfice-risque a été effectuée, Swissmedic peut, pour les médicaments destinés à prévenir ou à combattre le coronavirus en Suisse, autoriser des divergences par rapport au processus de fabrication approuvé dans le cadre de l’autorisation. Il fixe les critères qui permettent au responsable technique de libérer précocément sur le marché les médicaments destinés à prévenir et à combattre le coronavirus en Suisse.

  Art. 4m Exceptions aux dispositions concernant l’importation de médicaments

1 Les pharmaciens assumant la responsabilité pharmaceutique dans une pharmacie d’hôpital peuvent importer des médicaments non autorisés contenant les substances actives énumérées à l’annexe 5 pour traiter des patients atteints du COVID-19. Une entreprise disposant d’une autorisation de commerce de gros ou d’importation peut être chargée d’importer ces médicaments.

Voilà donc quelque chose qui ressemblerait à une décharge offerte par les représentants de l’Etat aux fabricants de produits quant aux conséquences potentiellement toxiques de produits sanitaires (médicaments et vaccins) liés au coronavirus potentiellement insuffisamment testés.

Ce faisant, le gendarme helvétique des médicaments, Swissmedic, a reçu par cette ordonnance du 13 mars 2020 une liberté. Rappelons que cet établissement est indépendant de l’autorité fédérale à l’image de FINMA.

Petit rappel au sujet de Swissmedic (Coup d’Etat planétaire):

En Suisse, une entente entre producteurs de médicaments a amené une députée, Laure Fehlman Rielle, à interpeller le Conseil fédéral. Selon elle, « Pour soigner la cécité liée à l’âge et le diabète notamment, de nombreux pays, par exemple la France, l’Italie et les Etats-Unis d’Amérique utilisent un médicament réputé efficace et sûr qui est l’Avastin. En Italie et en Espagne, les autorités exigent même que leurs hôpitaux prescrivent exclusivement l’Avastin. Mais en Suisse, celui-ci n’est plus homologué pour cette indication et les médecins doivent prescrire le Lucentis qui est au minimum 20 fois plus cher! Ainsi, les assureurs-maladie n’acceptent pas de le rembourser car il ne figure pas dans la liste de Swissmedic ». Alors qu’au sein de l’Union européenne et aux Etats-Unis, cette entente illicite présumée entre Roche et Novartis s’est vu opposer une bataille juridique, la Suisse, ou plus précisément, le Conseil fédéral affiche son impuissance…

Pour la petite histoire, Swissmedic est partenaire de la fondation Gates. Et de nous demander si la philanthropie du couple Gates n’inclurait pas l’argent du contribuable suisse par hasard…?

La pression des chiffres (faux) va favoriser une prise de risque sanitaire.

Compte tenu des risques qui découlent de ce qui précède, le Conseil fédéral veut être quittancé par les chambres fédérales par une loi -prévue pour le mois de juin- qui soutiendrait son montage. Nous comptons sur l’honnêteté et la responsabilité des parlementaires désireux d’assurer la sécurité de la population de refuser clairement et sans appel ce genre de texte.

En France, un dédouanement plus explicite de tous les intervenants y compris privés a été prévu dans un amendement. Les fondations caritatives, les laboratoires de recherche et autres firmes privées sont inclus dans cette immunité offerte aux partenaires privés.

Bref, personne ne semble vouloir assumer les risques aléatoire d’un vaccin…

Pressions exercées par les faux résultats du modèle de l’Imperial College London de Ferguson

La gouvernance mathématique de la société a besoin de la communauté scientifique pour prendre ses décisions. Problème:  quand les incompétences et les erreurs faussent les modèles de fond, les résultats de la gouvernance peuvent mener à une véritable catastrophe autre que celle prédite par les modèles. C’est pourquoi, ils vont chercher les scientifiques les mieux cotés dans les universités les plus prestigieuses. C’est ce qui a été fait dans le cas de la crise actuelle. Le professeur Ferguson qui a émis le modèle du Covid-19 travaille pour une prestigieuse université londonienne.

Alors que nos médias francophones officiels s’intéressent à la « love affair » de Neil Ferguson, ils sembleraient omettre le plus important de l’actualité de cet homme: ses fausses prédictions catastrophistes. Les « incompétences » sont si patentes et si récurrentes que le Daily Mail hésiterait à lui demander de prédire la date de Noël!

(Voir ci-dessous article du Daily Mail, et une critique d’universitaires de l’université de Colombia)

Par la pression qu’exercent les résultats catastrophistes qui résultent des défaillances du modèle Ferguson, nos gouvernants sembleraient justifier non seulement une dérogation au respect des libertés individuelles, mais aussi aux exigences sanitaires habituelles. C’est à cause d elui que les décisions du genre confinement, de la traçabilité par la technologie, du tri familial annoncé par l’OMS, de l’intervention des brigades (France), etc.Mais aussi la censure du Net:

https://blogs.mediapart.fr/charles-quatre-sendis/blog/120520/loi-avia-macron-instaure-en-france-une-censure-de-linternet-digne-de-la-chine?utm_source=facebook&fbclid=IwAR0uPTdR9MhxHwWt3be43FbtKO4yOYAMu4cnwcc_PJx_OVwf04sCjwn3I0Q

L’avenir nous dira quelle a été l’ampleur des dégâts générés par une société mathématique qui a imposé un confinement dont l’utilité est fortement controversée. Plus grave encore seront les conséquences d’un vaccin et/ou médicament insuffisamment validés…

(Vidéo du professeur Toussaint dès 34 minutes ICI)

Liliane Held-Khawam

Extraits de Coup d’Etat planétaire:
  • »Ce qui semble dangereux aux uns est une victoire à ceux qui veulent en finir avec l’Etat, la citoyenneté, les libertés individuelles. Ce genre de politique économique enterre la liberté d’entreprendre, et avec elle le droit à la propriété privée. Quand la puissance publique recule, c’est le droit de l’humanité d’écrire son histoire qui recule avec elle » (Extrait de Coup d’Etat planétaire)
  • Derrière un slogan séducteur « Sortir la Suisse du nucléaire », une gigantesque opération de restructuration favorable au business a été lancée en 2011 suite au drame de Fukushima. Le programme participe aussi à la révolution sociétale par l’énergie.
Voici un dessin de Suisse Energie qui distribue les subsideshttps://www.suisseenergie.ch/home.aspx?p=18724,22948 Ce schéma démontre l’ampleur de la mutation visée par le Conseil fédéral, maître d’œuvre aux pouvoirs étendus. Il nous révèle un projet d’envergure qui vise à réformer une multitude de secteurs de la vie sociétale. La transition énergétique fait en réalité la promotion des compteurs électriques intelligents, posés dans des immeubles rénovés en smart-buildings, eux-mêmes conçus dans une smart-city. La révolution technotronique est en marche.  Quant au nucléaire, aux dernières nouvelles le secteur se portait bien. La promesse de sortir du nucléaire, n’est que de la com qui permet de mettre en place la nouvelle structure sociétale fortement centrée sur la connectivité.
  • La réorganisation sociétale passe par la révolution de l’organisation territoriale et de ses ressources. Toute la manière dont la société se comporte doit changer. Radicalement. Un passage du rapport du Club de Rome semble confirmer notre analyse. Il y est dit : « Notre représentation du système mondial est évidemment axée sur l’homme, puisqu’au niveau final et le plus élevé de la hiérarchie, nous plaçons les préoccupations et les besoins de l’individu. Cela ne signifie pas, cependant que l’homme puisse ou doive être le seul arbitre de sa destinée. En fait, à quelque niveau que ce soit, économique, écologique ou autre, son environnement risque fort de prévaloir sur tous les choix qu’il peut tenter d’exercer. Autrement dit, indépendamment de ses désirs ou de ses actions, son avenir peut lui être assigné par le mouvement même de l’histoire[1]. »
    Une limitation potentielle du libre-arbitre de l’homme par son environnement, pourrait déboucher sur une limitation de la mobilité, et des choix des activités générées par les populations. Un système contrôlant pourrait arbitrer les activités polluantes humaines au profit de celles des FTN supranationales qui seraient alors maintenues, voire accrues.
    La réorganisation sociale passe par celle du quotidien de l’humanité. Une stratégie qui se veut évolutive, va être imposée. L’humanité perd toute liberté à s’organiser en fonction de sa culture, de ses aspirations ou autres traditions. La société doit être normée pour que le modèle dans lequel elle est inscrite fonctionne.
    Le Système semble envisager la planification de l’aménagement du territoire, y compris privée. A l’habitant de s’adapter à son environnement qui lui indiquera le rôle qu’il doit y jouer… D’où l’intérêt de « l’homme social adaptable », et plus l’homme économique. Nous pouvons y voir la logique qui mettra un fin éventuelle à la propriété privée, y compris immobilière.
    [1]  « Stratégie pour demain : 2ème rapport du Club de Rome », rapport 1974

ROSS CLARK: Les prédictions de verrouillage de Neil Ferguson sont tellement douteuses que vous ne lui demanderiez même pas quel jour est Noël. Daily Mail

Publié: 22h00 BST, 6 mai 2020

Un Neil Ferguson châtié cette semaine a reconnu son «erreur de jugement» en permettant à son amant marié de lui rendre visite à la maison, en violation flagrante des règles de verrouillage qui découlent, en grande partie, de ses propres recherches.
La chair est fragile, et si les rendez-vous du professeur de 51 ans avec la blonde Antonia Staats, 38 ans, étaient sa seule « erreur de jugement », beaucoup lui pardonneraient. Mais la carrière de ce scientifique trop influent a été marquée par de fréquentes questions sur sa modélisation.
De la fièvre aphteuse à la grippe porcine et à l’ESB, Ferguson est apparu de manière fiable à des prévisions complexes et brandies avec des morts effrayantes – des modèles qui tiennent les ministres sous l’emprise.
Maintenant, ses détracteurs soutiennent que ses prédictions sur le coronavirus – qui étaient cruciales pour persuader le gouvernement d’imposer le verrouillage qui paralyse notre économie et causant des dommages sociaux incalculables – pourraient s’avérer être sa plus controversée à ce jour.
Le 16 mars, Ferguson et son équipe de l’Imperial College de Londres ont publié un article désormais célèbre affirmant que le coronavirus était si mortel que plus de 500 000 Britanniques mourraient si rien n’était fait pour y faire face.
Environ 250 000 personnes périraient, ont-ils ajouté, si le gouvernement maintenait sa politique d’alors sans distanciation sociale. D’autres chercheurs ont fait la même prédiction.
Ce même jour, Boris Johnson a dit à la nation de ne pas entrer dans les pubs, restaurants et autres endroits surpeuplés – et une semaine plus tard, nous a tous ordonné de rester à la maison, sauf dans des circonstances spécifiques.
Alors, comment les prédictions de Ferguson se sont-elles déroulées? Début avril, des scientifiques suédois ont dirigé le modèle de Ferguson pour essayer de prédire le nombre de morts dans le pays scandinave si le gouvernement y décidait d’éviter le verrouillage.
Début mai, selon le modèle, 40 000 Suédois seraient morts, pour atteindre 96 000 fin juin. Le gouvernement suédois a avancé sans verrouillage mais en maintenant une distance sociale – la même approche que notre propre gouvernement avait adoptée jusqu’à ce que Ferguson publie son article.

40 000 Suédois sont-ils morts? Hier, le nombre de morts dans le pays s’élevait à 2 941.

Ferguson, il est apparu, a émis plusieurs hypothèses très discutables. Il a supposé que 0,9% de tous ceux qui étaient infectés par la maladie en seraient tués.

Ce chiffre a été révisé à la baisse fin mars par le collègue impérial de Ferguson, Robert Verity, à 0,66%. De nombreux scientifiques estiment qu’il est encore beaucoup plus bas: le Centre for Evidence-Based Medicine de l’Université d’Oxford place le taux de mortalité entre 0,1 et 0,26%.

Ferguson a également supposé que les deux tiers des personnes infectées présenteraient des symptômes et se rendraient donc compte qu’elles devraient s’auto-isoler.

Pourtant, une étude chinoise publiée dans le British Medical Journal le 2 avril suggère que 78% des personnes infectées par le virus ne présentent aucun symptôme.

Ferguson a également supposé que, si elle n’était pas contrôlée, un extraordinaire 81 pour cent de la population britannique attraperait Covid-19. Est-ce probable? Pas basé sur ce qui s’est passé à bord du bateau de croisière Diamond Princess, où le virus a été autorisé à sévir pendant quinze jours parmi plus de 3700 passagers et membres d’équipage.

Bien qu’ils vivent dans un lieu de reproduction presque parfait pour un virus infectieux, seulement 712 personnes à bord – 17% du total – ont été testées positives.

Le coronavirus n’est que le dernier d’une série de maladies où des questions ont été posées sur la modélisation de Ferguson. En 2001, ses calculs ont persuadé le gouvernement de Tony Blair d’ordonner une élimination préventive des animaux de ferme pour arrêter la propagation de la fièvre aphteuse. Environ 6,5 millions d’animaux ont été tués.

Les scientifiques de l’Université d’Édimbourg ont ensuite critiqué les modèles de Ferguson, les qualifiant de «non adaptés à leur usage».
L’année suivante, Ferguson était de retour pour affirmer que la vMCJ, la forme humaine de la maladie de la vache folle (Creutzfeldt–Jakob disease), pouvait tuer entre 50 et 50 000 Britanniques – une gamme si large qu’elle était presque inutile pour les décideurs politiques. Il a également déclaré que le nombre de morts pourrait atteindre 150 000 personnes si la maladie se transmettait aux moutons.
Cette apocalypse n’a jamais eu lieu: aujourd’hui, le bilan des décès de vCJD n’est que de 178.
Imperturbable, le prophète du malheur est revenu en 2005, cette fois-ci, avertissant de la grippe aviaire. « Environ 40 millions de personnes sont mortes en 1918, lors d’une épidémie de grippe espagnole », a-t-il déclaré. « Il y a six fois plus de personnes sur la planète maintenant, vous pouvez donc probablement passer à environ 200 millions de personnes. »
Non, tu ne pouvais pas. À ce jour, selon l’Organisation mondiale de la santé, la grippe aviaire H5N1 n’a tué que 455 personnes dans le monde.

La pression des chiffres (faux) va favoriser une prise de risque sanitaire.

En 2009, Ferguson a affirmé que le taux de mortalité par grippe porcine se situait entre 0,3% et 1,5%, mais était «très probablement» de 0,4%. Sur la base de ce chiffre, le «scénario le plus défavorable raisonnable» du gouvernement suggérait que la Grande-Bretagne subirait 65 000 décès.
À la fin de l’année, il a été signalé que le taux de mortalité réel n’était que de 0,026%. Le nombre de morts au Royaume-Uni à l’époque était de 283.
Avec un CV comme celui-ci, beaucoup pourraient hésiter à demander à Ferguson de prédire le jour où tombera le jour de Noël cette année, sans parler de conseiller un gouvernement sur la façon de faire face à une grave épidémie.
Pour l’instant, il semble que son temps en tant que meilleur conseiller soit écoulé. Ses chiffres chancelants ne guideront plus le gouvernement car il nous éloigne du verrouillage auquel il n’a pas obéi lui-même.
https://www.dailymail.co.uk/news/article-8294439/ROSS-CLARK-Neil-Fergusons-lockdown-predictions-dodgy.html

“So the real scandal is: Why did anyone ever listen to this guy?”

John Fund writes:
[Imperial College epidemiologist Neil] Ferguson was behind the disputed research that sparked the mass culling of eleven million sheep and cattle during the 2001 outbreak of foot-and-mouth disease. He also predicted that up to 150,000 people could die. There were fewer than 200 deaths. . . .
In 2002, Ferguson predicted that up to 50,000 people would likely die from exposure to BSE (mad cow disease) in beef. In the U.K., there were only 177 deaths from BSE.
In 2005, Ferguson predicted that up to 150 million people could be killed from bird flu. In the end, only 282 people died worldwide from the disease between 2003 and 2009.
In 2009, a government estimate, based on Ferguson’s advice, said a “reasonable worst-case scenario” was that the swine flu would lead to 65,000 British deaths. In the end, swine flu killed 457 people in the U.K.
Last March, Ferguson admitted that his Imperial College model of the COVID-19 disease was based on undocumented, 13-year-old computer code that was intended to be used for a feared influenza pandemic, rather than a coronavirus. Ferguson declined to release his original code so other scientists could check his results. He only released a heavily revised set of code last week, after a six-week delay.
So the real scandal is: Why did anyone ever listen to this guy?
I don’t know. It’s a good question. When Ferguson was in the news a few months ago, why wasn’t there more discussion of his atrocious track record? Or was his track record not so bad? A google search turned up this op-ed by Bob Ward referring to Ferguson’s conclusions as “evidence that Britain’s political-media complex finds too difficult to accept.” Regarding the foot-and-mouth-disease thing, Ward writes, “Ferguson received an OBE in recognition for his important role in the crisis, or that he was afterwards elected a fellow of the prestigious Academy of Medical Sciences.” Those sorts of awards don’t cut much ice with me—they remind me too much of the U.S. National Academy of Sciences—but maybe there’s more of the story I haven’t heard.
I guess I’d have to see the exact quotes that are being referred to in the paragraphs excerpted above. For example, what did Ferguson exactly say when he “predicted that up to 150,000 people could die” of foot-and-mouth disease. Did he say, “I expect it will be under 200 deaths if we cull the herds, but otherwise it could be up to 2000 or more, and worst case it could even be as high as 150,000?” Or did he flat out say, “150,000, baby! Buy your gravestone now while supplies last.”? I wanna see the quotes.
But, if Ferguson really did have a series of previous errors, then, yeah, Why did anyone ever listen to this guy?
In the above-linked article, Fund seems to be asking the question rhetorically.
But it’s a good question, so let’s try to answer it. Here are a few possibilities:
1. Ferguson didn’t really make all those errors; if you look at his actual statements, he was sane and reasonable.
Could be. I can’t evaluate this one based on the information available to me right now, so let’s move on.
[Indeed, there seems to be some truth to this explanation; see P.S. below.]
2. Nobody realized Ferguson had made all those errors. That’s true of me—I’d never heard of the guy before all this coronavirus news.
We may be coming to a real explanation here. If a researcher has success, you can find evidence of it—you’ll see lots of citations, a prestigious position, etc. But if a researcher makes mistakes, it’s more of a secret. Google the name and you’ll find some criticism, but it’s hard to know what to make of it. Online criticism doesn’t seem like hard evidence. Even published papers criticizing published work typically don’t have the impact of the original publications.
3. Ferguson played a role in the system. He told people what they wanted to hear—or, at least, what some people wanted to hear. Maybe he played the role of professional doomsayer.
There must be something to this. You might say: Sure, but if they wanted a doomsayer, why not find someone who hadn’t made all those bad predictions? But that misses the point. If someone’s job is to play a role, to speak from the script no matter what the data say, then doing bad work is a kind of positive qualification, in that it demonstrates one’s willingness to play that role.
But this only takes us part of the way there. OK, so Ferguson played a role. But why would the government want him to play that role. If you buy the argument of Fund (the author of the above-quoted article), the shutdowns were a mistake, destructive economically and unnecessary from the standpoint of public health. For the government to follow such advice—presumably, someone must have been convinced of Ferguson’s argument from a policy perspective. So that brings us back to points 1 and 2 above.
4. A reputational incumbency effect. Once someone is considered an expert, they stay an expert, absent unusual circumstances. Consider Dr. Oz, who’s an expert because people consider him an expert.
5. Low standards. We’ve talked about this before. Lots of tenured and accoladed professors at top universities do bad work. I’m not just talking about scandals such as pizzagate or that ESP paper or epic embarrassments such as himmicanes; I’m talking more about everyday mediocrity: bestselling books or papers in top journals that are constructed out of weak evidence. See for example here, here, and here.
The point is, what it takes to be a celebrated academic is to have some successes. You’re defined by the best thing you did, not the worst.
And maybe that’s a good thing. After all, lots of people can do bad work: doing bad work doesn’t make you special. I proved a false theorem once! But doing good work, that’s something. Now, some of these celebrity academics have never done any wonderful work, at least as far as I can tell. But they’re benefiting from the general principle.
On the other hand, if the goal is policy advice, maybe it’s better to judge people by their worst. I’m not sure.
Not that we’re any better here in the U.S., where these academics have had influence in government.
Taking the long view, organizations continue to get staffed with knaves and fools. Eternal vigilance etc. Screaming at people in the press isn’t a full solution, but it’s a start.
P.S. There seems to some truth to explanation 1 above, “Ferguson didn’t really make all those errors; if you look at his actual statements, he was sane and reasonable.” From Tom in comments:
Mad Cow paper:
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11786878
From abstract:
“Extending the analysis to consider absolute risk, we estimate the 95% confidence interval for future vCJD mortality to be 50 to 50,000 human deaths considering exposure to bovine BSE alone, with the upper bound increasing to 150,000 once we include exposure from the worst-case ovine BSE scenario examined.”
Consistent with the “up to 50,000” quote but the quote fails to mention the lower bound.
Liliane HeldKhawam
Bienvenue sur le blog personnel de Liliane Held-Khawam! Vous trouverez ici plusieurs publications parues dans la presse ou dans des revues spécialisées. Liliane Held-Khawam est née à Héliopolis (Egypte) et a vécu au Liban, en France, Suisse, Etats-Unis.

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