Le « monde d’après » le coronavirus : ce merveilleux espace carcéral global. Russie politics Bracelet électronique, application de traçage, de géolocalisation, de distanciation, c’est le nouveau monde du coronavirus, ce fameux « monde d’après », qui après avoir assigné à domicile plus de 4 milliards d’êtres humains se prépare à les mettre sous surveillance, « pour leur bien », « par civisme », « sans les contraindre ». Nous entrons avec joie et bonheur dans un univers carcéral quotidien. Tant que nous nous laissons faire, il n’y a plus aucune raison pour que ça s’arrête. En France, en Russie, en Italie, à Hong Kong, même dans le si petit Liechtenstein et ailleurs, un monde global s’installe. Inhumain, faute de ne pouvoir déjà être sans humains. La dernière liberté de l’homme,
Topics:
Liliane HeldKhawam considers the following as important: Autres articles
This could be interesting, too:
Liliane HeldKhawam writes 34’000 citoyens suisses demandent la sortie de la Suisse de l’OMS. Pétition.
Liliane HeldKhawam writes 2025 sera l’année de l’avènement des révolutionnaires de la BigTech au sommet de la gouvernance politique.
Liliane HeldKhawam writes Un Sauveur nous est né! Joyeux Noël.
Liliane HeldKhawam writes L’Humanité vampirisée disponible.
Le « monde d’après » le coronavirus : ce merveilleux espace carcéral global. Russie politics
« Nous avons pleinement conscience que tout le monde ne possède pas de smartphone, des solutions alternatives sont à l’étude pour que ceux qui n’ont pas cet équipement ou ceux qui ne savent pas bien s’en servir puissent avoir accès à cet outil s’il est déployé »
« l’objectif du Gouvernement est que tout citoyen qui souhaite contribuer à casser les chaines de transmission et de propagation du virus puisse le faire, librement«
La dernière liberté de l’homme, celle de renoncer à sa liberté.
« L’idée est d’avoir un bracelet, ou un autre objet connecté, qui ne soit pas relié au smartphone et permettrait de connaître les personnes croisées par son porteur durant la journée et celles qui se sont rendues dans différents lieux »
« Le but n’est pas de traquer une personne pour savoir si elle est allée à la Poste ou au supermarché mais d’aider les autorités à gérer la circulation du virus. C’est un acte de civisme, comme l’attestation de sortie. »