Le financement des nouveaux avions de combat agite la société suisse des officiers : interview de Stefan Holenstein Forum / 6 min. / dimanche à 19:34 A tous les amoureux de la démocratie. A tous les admirateurs de la démocratie suisse. Nous postulons sur ce site depuis de nombreuses années que le pouvoir des citoyens devrait tôt ou tard être sous-traité, voire totalement remis aux représentants des industriels transnationaux. C’est ce que nous appelons corporatocratie. La chose est déjà en place au niveau, entre autres, de la politique monétaire, de la politique financière, de la politique des territoires, etc. Et voilà qu’un pas de géant vient d’être franchi dans le domaine militaire. Les officiers supérieurs suisses font appel, par la
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A tous les amoureux de la démocratie.
A tous les admirateurs de la démocratie suisse.
Nous postulons sur ce site depuis de nombreuses années que le pouvoir des citoyens devrait tôt ou tard être sous-traité, voire totalement remis aux représentants des industriels transnationaux.
C’est ce que nous appelons corporatocratie.
La chose est déjà en place au niveau, entre autres, de la politique monétaire, de la politique financière, de la politique des territoires, etc.
Et voilà qu’un pas de géant vient d’être franchi dans le domaine militaire. Les officiers supérieurs suisses font appel, par la voix de leurs représentants, au lobby de l’armement international pour venir les soutenir financièrement face (contre?) au processus démocratique suisse.
Les processus de la démocratie, dont les votations, virent toujours plus au folklore à cause d’une élite qui place, par intérêt personnel, le pouvoir des multinationales et de leur puissance financière au-dessus des Etats et des individus.
Les responsables de pareilles alliances menacent clairement les institutions démocratiques. En d’autres temps, ils auraient dû démissionner. Et c’est ce que nous sommes en droit d’attendre encore aujourd’hui.
LHK
L’armement, un juteux business pour une conscience mise de côté. https://lilianeheldkhawam.com/2018/10/21/larmement-un-juteux-business-lhk/
Les fabricants pourraient financer la campagne sur les avions de combat
Selon le journal, la SSO pourrait chercher un soutien financier auprès de chacun des constructeurs aéronautiques pour le financement de sa campagne référendaire sur l’acquisition des jets militaires.
« Il s’agit d’une proposition de discussion préliminaire, sans demande spécifique de financement », précise Stefan Holenstein, président de la Société suisse des officiers, dimanche dans Forum.
Le précédent Gripen
Contactés par la RTS, plusieurs officiers se sont distancés de cette lettre, évoquant une « idée saugrenue », « un jeu dangereux » ou de la « naïveté », en rappelant que c’est notamment le financement étranger, en l’occurrence par le constructeur Saab, qui avait fait capoter la votation sur les avions de combat Gripen en 2014.
« Je peux comprendre ces réactions, parce qu’on garde un souvenir de la défaite du Gripen. Mais nous ne ferons pas d’actions pouvant suggérer une influence étrangère », affirme Stefan Holenstein, avant d’admettre: « L’argent ne pousse pas sur les arbres dans notre organisation, on doit donc trouver des autres moyens de financement ».
Réponses variées des constructeurs
Du côté des constructeurs interrogés par la SonntagsZeitung, « Lockheed Martin a l’intention de soutenir la campagne », a indiqué une porte-parole du concepteur américain de l’avion furtif F-35. « Nous vérifions chaque demande de sponsoring et nous nous assurons qu’elle répond à l’appel d’offres », s’est pour sa part contenté de déclarer la société américaine Boeing, qui propose le F/A-18 Super Hornet.
Pour Airbus, le constructeur de l’Eurofighter, « la demande de la SSO est une question qui doit être approuvée par le gouvernement suisse ». Le groupe français Dassault, qui produit le Rafale, n’a pas voulu s’exprimer.
Des politiciens avertissent dans le journal que les avionneurs étrangers ne doivent en aucun cas s’immiscer dans une campagne de votation en Suisse. « On va parler avec les autorités du DDPS, et ne pas précipiter les choses. Et c’est seulement si les autorités approuvent la procédure qu’on ira de l’avant, sinon on refuse et on trouve d’autres chemins de financement », assure Stefan Holenstein.
Sujet et interview radio: Dominique Choffat, Renaud Malik
RTS
Biographie de M Holenstein
M Holenstein est partenaire de la société AIM Team https://www.aim.ch/fr/savoir/
AIM est membre du groupe TMG, transition management group, dont l’objectif « consiste à donner un soutien actif aux clients sur le marché international.«
Wikipedia
Stefan Holenstein wuchs in Zürich auf und besuchte die Kantonsschule Zürich-Oerlikon, wo er 1981 mit der Matura Typus A abschloss. Von 1982 bis 1988 studierte er an der Universität Zürich Rechtswissenschaft und arbeitete anschliessend bis 1992 als Wissenschaftlicher Assistent am Lehrstuhl für Zivilrecht und Römisches Recht der Universität Zürich. Danach wechselte er zur Universität St. Gallen, wo er wiederum als Wissenschaftlicher Assistent am Lehrstuhl für Zivilrecht und Allgemeine Rechtsgeschichte bis 1994 wirkte.[1]
Im Anschluss war Holenstein für zwei Jahre als Auditor und juristischer Sekretär am Bezirksgericht Zürich tätig. Er doktorierte 1995 mit einer rechtshistorischen Abhandlung. Danach wechselte er in die Privatwirtschaft, wo er von 1997 bis 1999 Generalsekretär beim Reisekonzern Kuoni war. Im Jahr 1999 erlangte er das Anwaltspatent des Kanton Zürichs. Von Kuoni wechselte er zur Rentenanstalt / Swiss Life, wo er bis 2000 als Rechtskonsulent tätig war. Danach arbeitete er bis 2004 als Leiter Corporate Services bei der Erb-Gruppe. Nach Abwicklung des Konkurses des Winterthurer Familienunternehmens[2] war er bis 2008 als Head Corporate Center beim Ostschweizer Bauzulieferer Arbonia, danach als stellvertretender Direktor beim Verband der Schweizer Krankenversicherer Santésuisse.[1][3] 2014 wurde er Generaldirektor des Automobil Clubs der Schweiz (ACS); das Arbeitsverhältnis endete infolge einer Verbandskrise im Juni 2016.[4][5] Der ACS und Holenstein einigten sich im Dezember 2016 einvernehmlich und aussergerichtlich.[6] Seit Mai 2017 ist er als Partner sowie Mitglied des Verwaltungsrats und der Geschäftsleitung bei einer Interim-Management-Provider-Firma tätig.[7]