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Le risque de faillite systémique menace toujours la zone euro. Liliane Held-Khawam

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Source photo: Revue-banque.fr  A la suite du vote du 23 juin qui a approuvé le brexit, les spécialistes et surtout les politiciens europhiles n’avaient pas de mots assez forts pour annoncer un cataclysme financier britannique voire mondial. Or, voici ce que titrait l’AFP il y a quelques jours: « L’économie britannique semble pour l’instant déjouer les pronostics en affichant une bonne santé, mais le ciel risque de s’assombrir dans les prochains mois. » En revanche, nous sommes contraints de constater que les foudres ont frappé les banques européennes liées à l’euro depuis le fameux vote.Et que de plus en plus de voix se font entendre pour sortir de la zone euro, espace artificiellement soutenue par les peuples qui, de plus, n’en veulent pas. L’issue est difficile à envisager de manière positive. Cette monnaie, mais aussi les dettes publiques qui l’accompagnent subiront  en toute logique  un redimensionnement dont l’ampleur reste inconnue… Voici un enregistrement qui a eu lieu quelques heures après le résultat du brexit: [embedded content] En attendant, des banques allemandes, italiennes mais aussi suisses ont pris la  direction du plancher des bourses. La plus ancienne banque au monde se bat pour éviter la faillite.

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Le risque de faillite systémique menace toujours la zone euro. Liliane Held-Khawam

Source photo: Revue-banque.fr

 A la suite du vote du 23 juin qui a approuvé le brexit, les spécialistes et surtout les politiciens europhiles n’avaient pas de mots assez forts pour annoncer un cataclysme financier britannique voire mondial.

Or, voici ce que titrait l’AFP il y a quelques jours:

« L’économie britannique semble pour l’instant déjouer les pronostics en affichant une bonne santé, mais le ciel risque de s’assombrir dans les prochains mois. »

En revanche, nous sommes contraints de constater que les foudres ont frappé les banques européennes liées à l’euro depuis le fameux vote.Et que de plus en plus de voix se font entendre pour sortir de la zone euro, espace artificiellement soutenue par les peuples qui, de plus, n’en veulent pas. L’issue est difficile à envisager de manière positive. Cette monnaie, mais aussi les dettes publiques qui l’accompagnent subiront  en toute logique  un redimensionnement dont l’ampleur reste inconnue…

Voici un enregistrement qui a eu lieu quelques heures après le résultat du brexit:

En attendant, des banques allemandes, italiennes mais aussi suisses ont pris la  direction du plancher des bourses.

Banca Monte P

La plus ancienne banque au monde se bat pour éviter la faillite.

Deutsche bank août 2016.png

« La Deutsche Bank a un déficit de capital plus large que sa capitalisation actuelle« 

Credit suisse

Credit Suisse a été viré tout simplement à l’image de sa collègue Deutsche bank de l’indice euro stoxx 50.

Pour nous sur ce site, l’Eurosystème est à l’image du cours de la Banca Monte Paschi ou de la Deutsche Bank qui sont  empêchées de manière volontariste de faire faillite…

La faillite de la zone euro est probablement une question de temps. La BNS qui détient près de la moitié de ses devises en euros et en obligations publiques a tout intérêt à commencer à préparer sa communication et ses explications.

La chose sera d’autant plus dure à expliquer que d’importantes liquidités d’institutions bancaires et publiques déposées sur le compte des virements des banques risquent d’être englouties dans l’affaire…

ceux qui continuent de prôner un fonds souverain n’ont pas saisi comment le bilan de la BNS s’est hypertrophié…

Liliane Held-Khawam

Credit Suisse évincé de l’indice Stoxx Europe 50

BanqueL’action de la banque helvétique était à la peine, mercredi, après l’annonce de l’éviction de CS d’un indice.

La banque suisse cède sa place au français Vinci. (Photo d

La banque suisse cède sa place au français Vinci. (Photo d’illustration) Image: Keystone

Credit Suisse perd sa place au sein de l’indice Stoxx Europe 50, qui regroupe les grandes sociétés de dix-huit pays européens. Suite à cette annonce, le titre du numéro deux bancaire helvétique a fortement chuté à la Bourse suisse.

L’établissement financier sera remplacé à compter de lundi prochain par le français Vinci. Vers 12 heures, le titre de l’institut bancaire se reprenait. Il gagnait 0,67% à 10,53 francs alors que l’indice des valeurs vedettes Swiss Market Index (SMI) perdait 0,25%.

Sa rivale allemande Deutsche Bank, qui va elle aussi sortir de l’indice Stoxx Europe 50, chutait, quant à elle, de 3,3%. Le groupe bancaire va pour sa part être évincé au profit du néerlandais ASML, spécialisé dans les systèmes de lithographie pour l’industrie des microprocesseurs.

De telles évictions signifient que de nombreux grands investisseurs vont être amenés à vendre leurs titres.

Doutes grandissants

Credit Suisse et Deutsche Bank sont actuellement en pleine transformation. La première, dont le Franco-Ivoirien Tidjane Thiam a repris la direction, a ainsi amorcé un vaste recentrage sur la gestion de fortune tout en procédant à un recalibrage de ses activités de banque d’affaires, plus sensibles aux aléas de la conjoncture sur les marchés financiers.

Les projets de l’ancien patron de l’assureur britannique Prudential, initialement acclamé par les investisseurs, se sont toutefois heurtés à des doutes grandissants. Ce repositionnement intervient dans une phase agitée sur les marchés financiers qui s’est traduite par une forte aversion au risque de la part des clients des banques.

Deutsche Bank est également en pleine restructuration. L’établissement financier a pour sa part vu son bénéfice plonger de 98% au deuxième trimestre à 18 millions d’euros. lire la suite sur le dite de 24 heures.

Brexit : jusqu’ici tout va bien en Grande-Bretagne

Les magasins ont pu compter sur les dépenses des touristes qui ont profité de la faiblesse de la livre.

Les magasins ont pu compter sur les dépenses des touristes qui ont profité de la faiblesse de la livre, comme à Londres, le 13 août 2016. (© N. Hall’en/AFP)

L’économie britannique semble pour l’instant déjouer les pronostics en affichant une bonne santé, mais le ciel risque de s’assombrir dans les prochains mois.

Les dernières statistiques officielles sont quasi-unanimes pour montrer que l’activité n’a pas marqué le pas depuis le référendum du 23 juin à la grande surprise des analystes qui avaient déjà intégré dans leurs prévisions un ralentissement de l’économie.

Une large majorité des économistes, les organisations internationales, voire le Trésor et la Banque d’Angleterre: tous ont annoncé craindre un retour de bâton compte tenu des incertitudes liées au Brexit, à commencer par une longue période de négociation, peu propice à rendre sereins les milieux d’affaires.

«Jusqu’à présent, le vote pour le Brexit ne parvient pas à affecter les indicateurs économiques officiels (…). Il est encore tôt, mais il est évident qu’une baisse de la confiance n’est pas avérée, tant pour les consommateurs que pour les entreprises», explique Laith Khalaf, analyste chez Hargreaves Lansdown.

L’économie britannique tient bon, à l’image des ventes au détail, publiées jeudi, qui ont nettement rebondi de 1,4% en juillet, bien plus que prévu par les analystes, laissant penser que les consommateurs n’ont pas changé leur habitude. Les magasins ont même pu compter sur les dépenses des touristes dont le pouvoir d’achat se trouve gonflé par la faiblesse de la livre.

Howard Archer, économiste chez IHS, prévoit même que cette tendance pourrait se poursuivre en août grâce à une météo clémente et l’effet entraînant des excellentes performances de l’équipe de Grande-Bretagne lors des jeux Olympiques.

D’autres publications portant sur juillet, le premier mois complet depuis le vote, ont rassuré, avec notamment la baisse des demandes d’allocation chômage, la légère accélération de l’inflation, ou encore la stabilisation des ventes de voitures neuves.

Le géant britannique du bricolage, Kingfisher, a même noté jeudi que l’issue du référendum n’avait pas eu « d’impact clair sur la demande » dans ses magasins.

«Le chômage est historiquement bas et la confiance des consommateurs reste élevée», remarque Daniel Vernazza, économiste chez Unicredit, expliquant que la plupart des personnes qui ont voté pour quitter l’Union européenne ne pensaient pas que le résultat allait plomber l’économie du Royaume-Uni, ils ne devraient donc pas réduire trop leurs dépenses à court terme.

L’optimisme gagne également les investisseurs, puisque l’indice vedette de la Bourse de Londres a fortement accéléré depuis le début du mois d’août, il est vrai principalement porté par le nouveau dispositif dévoilé par la Banque d’Angleterre (BoE).

La BoE, qui a baissé ses taux et injecte davantage de liquidités dans le système financier, pourrait d’ailleurs être bientôt épaulée par le gouvernement britannique qui envisage des mesures de relance pour l’automne. lire la suite sur le site du journal.

Liliane HeldKhawam
Bienvenue sur le blog personnel de Liliane Held-Khawam! Vous trouverez ici plusieurs publications parues dans la presse ou dans des revues spécialisées. Liliane Held-Khawam est née à Héliopolis (Egypte) et a vécu au Liban, en France, Suisse, Etats-Unis.

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