La cybernétique est la science du contrôle des systèmes, vivants ou non-vivants, fondée par Norbert Wiener. Exactement ce qui transpire des propos de Y Harari, le maître à penser de Klaus Schwab. https://www.futura-sciences.com/fonds-ecran/informatique-cybernetique-science-controle-systemes-vivants-non-vivants-fondee-norbert-wiener-3097/ Alors que certains continuent de voter et de se passionner pour la politique, la structure du Nouveau Monde se positionne ailleurs. Elle est basée, construite et pilotée par la techno-science. Non seulement elle n’a que faire de politique, mais en plus plus vous vous divertissez avec la comédie politique, et plus vous offrez une autoroute au Nouveau système techno-sociétal pour se mettre en place tranquillement et silencieusement. De fait, aussi
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Alors que certains continuent de voter et de se passionner pour la politique, la structure du Nouveau Monde se positionne ailleurs. Elle est basée, construite et pilotée par la techno-science.
Non seulement elle n’a que faire de politique, mais en plus plus vous vous divertissez avec la comédie politique, et plus vous offrez une autoroute au Nouveau système techno-sociétal pour se mettre en place tranquillement et silencieusement. De fait, aussi longtemps que la politique ne lui met pas de bâtons dans les roues, il peut s’en accommoder sans soucis. Et comme les dirigeants politiques ne comprennent pas grand chose au modèle -qui devrait les envoyer tous (au mieux) au placard- ils le laissent prospérer avec le soutien des banquiers centraux et surtout des managers d’actifs.
Le Nouveau Monde est basé sur un modèle qui mélange les mathématiques, la physique, la chimie, la biologie, la technologie de l’information, la technologie de production, etc. etc. etc. Les politiciens de droite ou de gauche ne peuvent même pas l’aborder, et sincèrement je pense que les tenants des manettes doivent aussi leur faire peur, dans la mesure ou les patrons de la mafia globalisée ne doivent pas être trop éloignés.
L’ensemble de nos travaux ont pointé du doigt la présence de la mafia au plus près du centre de Planète finance. Pour mémoire le Professeur Marc Chesney de l’Université de Zurich (qui a préfacé Dépossession) avait démontré par a+b les délits d’initiés du 11 septembre. Il a été le premier à avoir produit (avril 201O) une étude sérieuse et fouillée sur le sujet.
Le Nouveau Monde est supposé faire muter la planète en prison virtuelle géante dans laquelle il n’y aurait plus ni riche ni pauvre, ni manager ni ouvrier, ni femme ni homme,… Tout le monde (moins quelques personnes) devrait finir en ressource transhumaine plus ou moins utile, plus ou moins récompensé/pénalisé.
La 4ème révolution du WEF est l’aboutissement des travaux d’une série d’intervenants, dont Norbert Wiener
Klaus Schwab s’est approprié le concept sous l’appellation de 4ème révolution. Cependant, le concept est cadré par la cybernétique, convergence d’une série de sciences et technologies, qui force l’individu à se robotiser pour mieux s’adapter à la cybermachine géante. Ce projet est un processus qui a largement précédé les travaux de Schwab. Il remonte aux pères de la cybernétique, dont le pivot est Norbert Wiener. Avec Wiener, nous avions affaire à un autre gabarit d’individus qui se torturait, au fur et à mesure qu’il faisait avancer le modèle, quant au devenir de l’humanité.
Ce n’est pas le cas de Schwab qui n’a fait que mettre en place la com et le show, sur fond de business. Il n’est en aucun cas le cerveau de ce Nouveau Monde. En revanche, le cynisme avec lequel il annonce que tout un chacun sera modifié est une menace à l’intégrité corporelle, psychique et spirituelle de tout un chacun. Cela est juste intolérable et mériterait une enquête de notre Ministère de la Confédération… (Vidéo 0:36)
Discours tout aussi insupportable dans les murs de l’organisation du Klaus Schwab…
La cybernétique structure et cadre le Nouveau Monde
Revenons à la cybernétique dont nous avions déjà parlé. Platon utilisait le terme « κυβερνητική » (grec kubernêtikê, de kubernân, gouverner) pour désigner le pilotage d’un navire. Les termes « gouverne », « gouvernail », « gouvernement » ou encore « gouverneur » partagent cette étymologie commune avec le terme « cybernétique ». Le terme cybernétique apparaît en 1834 dans la classification des sciences proposée par André-Marie Ampère (physicien et fondateur de l’électrodynamique 1775-1836) et désigne « la science du gouvernement des hommes » (Wikipédia). Mais c’est Norbert Wiener qui va la mettre en musique sous la forme scientifique multidisciplinaire.
C’est un autre Wiener, Malcolm, qui va permettre au projet de prendre forme dans les allées publiques. Klaus Schwab y avait été en tant qu’étudiant. Quel est le lien familial entre Norbert et Malcolm? Je ne le sais pas. Mais comme je ne crois pas trop au hasard…
Le père du président ukrainien, un cybernéticien professionnel.
Wikipédia révèle que le père de Zelensky Oleksandr Zelensky, professeur et chef du département de cybernétique et d’informatique de l’Université d’État d’Économie et de Technologie de Kryvyï Rih.
Entre les recherches de Wiener et la Harvard Kennedy sychool, des trips au LSD.
Dans les vidéos ci-dessous, vous trouverez (sous-titrage en français) le documentaire « Das Netz (La Toile) » de Lutz Dammbeck, Un road-movie entre cybernétique LSD et technophobie. Voici un commentaire assez réaliste sur ce film incontournable que je vous invite à découvrir pour capter certaines clés sur lesquelles est posé le Nouveau Monde.
« La fascination pour la vision positive d’une mise en réseau mondiale, à laquelle participeraient des citoyens du monde plutôt que des ressortissants de pays, est au centre du film de Lutz Dammbeck. Mais le réalisateur allemand la met en lumière à travers le prisme d’une vision négative. Dammbeck pratique le mélange des genres : entre road-movie réalisé sur la trame narrative d’un ordinateur portable et enquête criminelle. Il démontre comment cybernétique, théorie des systèmes, psychologie et programmes militaires engendrent des systèmes de machines en réseau, en passant en revue les arguments du « Freedom Club » (Club de la liberté), clairement opposé à la technophilie ambiante.
Qui se cache derrière les attaques contre des scientifiques en informatique aux Etats-Unis entre 1978 et 1995 ? Pendant que Dammbeck rend visite à des membres de la cyber-élite, le technophobe Ted Kaczynski, ancien professeur de mathématiques à Harvard et auteur présumé des attentats, devient le protagoniste invisible, à travers un échange épistolaire suivi. Il n’apparaît jamais, mais est la mauvaise conscience de la société du progrès.
Les cyber-théoriciens comme Stuart Brand prônent la création de systèmes ouverts sur la base de la nouvelle science clef : la cybernétique de Norbert Wiener. Malgré la tournure de toute évidence militaire des premiers réseaux, on n’est surpris qu’au premier regard par les liens avec la scène hippie californienne. Alors que pour eux le cerveau n’est plus qu’un organe de chair et que l’on étudie la transmission d’informations des machines et des êtres vivants, la drogue LSD fait le lien: elle est à la fois utilisée pour élargir le champ de la conscience, mais elle se trouve aussi au centre des recherches psychologiques qui portent sur la reprogrammation des individus. Dammbeck montre des clichés impressionnants d’essais au LSD réalisés sur des cobayes humains. Ces projets de recherche commandés par les services secrets ne dissimulent pas leurs objectifs. James Murray, commandant aux multiples décorations, parle de la « mission de l’Amérique », de l’objectif des Etats-Unis d’asseoir leur domination sur le monde après avoir mené à son terme la croisade du bien contre le mal.
Dans le film de Dammbeck, Kaczynski se pose alors en Antéchrist dans son « manifeste d’Unabomber » : il défend la « révolution contre le progrès technologique » et « contre la surveillance et le pilotage des consciences », car la technologie est selon lui opposée à la nature. Aiguillonné par la crainte face à l’imprévisibilité des systèmes complexes, leur effondrement est son objectif affiché.
Le réalisateur ne prend jamais parti, mais Ted Kaczynski, aujourd’hui condamné à une peine de prison, accède de façon sous-jacente au statut de Robin des Bois. L’explication est peut-être à chercher dans la scène émouvante où Heinz von Foerster, précurseur de la cybernétique aujourd’hui disparu, reconnaît qu’il est devenu métaphysicien après avoir été physicien en raison des nombreuses questions qui restent toujours en suspens.
https://archive.org/details/dasNetz_945/dasNetz1_de.mp4
Un scientifique de génie devient terroriste pour attirer l’attention sur le danger que court l’humanité.
Je profite de l’occasion pour répéter avec force mon opposition totale et non négociable à tout ce qui a trait à la violence petite ou grande. C’est pourtant dans une violence aveugle que va basculer un visionnaire scientifique qui avait compris très tôt les dangers de ce que Schwab appelle aujourd’hui la 4ème révolution.
Le nom de cet ancien professeur de mathématique de Harvard est Ted Kaczynski, surnommé Unabomber. Il se présente en tant qu’Antéchrist. Je ne sais ce qu’il faut penser de sa dimension psychologique… A vous de voir.
Bref, je vous mets ici son manifeste.
« Das Netz (La Toile) » de Lutz Dammbeck, sous-titres français.
Merci de les enregistrer si cela vous est possible. je commence déjà à avoir des problèmes. Pour l’instant, je vous ai mis les liens en vert.