Le livre de Vincent Held est arrivé. Il y est question d’asservissement comme résultante de la déshumanisation de la société et de l’esclavage numérique. Le nouveau livre de Vincent Held est arrivé. Il traite du sujet brûlant du moment, à savoir de la réinitialisation de la société, ou reset social. Nous découvrons dans ce livre à quel point non seulement la technologie remet en question les moindres recoins de notre vie – y compris la plus intime- mais aussi à quel point nos valeurs de fond qui définissaient autrefois la dignité et le respect de l’intégrité de l’humain ont été balayées. Le statut de l’enfant ainsi que ses droits sont reconsidérés avec la bénédiction des institutions supranationales et avalisés par les divers gouvernants des pays membres de la galaxie
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Le nouveau livre de Vincent Held est arrivé.
Il traite du sujet brûlant du moment, à savoir de la réinitialisation de la société, ou reset social.
Nous découvrons dans ce livre à quel point non seulement la technologie remet en question les moindres recoins de notre vie – y compris la plus intime- mais aussi à quel point nos valeurs de fond qui définissaient autrefois la dignité et le respect de l’intégrité de l’humain ont été balayées.
Ces derniers jours, le philosophe suisse Eric Werner écrivait dans les lignes de l’Antipresse:
« La pandémie a été l’occasion d’un saut qualitatif, ouvrant des perspectives que personne jusqu’alors, pas plus Orwell que Kafka, n’avait seulement imaginées ni moins encore explorées. Et pour cause, puisqu’on ne savait pas encore ce qu’était le numérique. Au CERN, près de Genève, les employés et cadres sont désormais équipés d’une application leur permettant de respecter les «distances sociales». Dès qu’on se rapproche de trop près d’un collègue, une sonnerie de mise en garde retentit.
Antipresse https://antipresse.net/aparchive/275509/Antipresse-275.pdf?mc_cid=30741bb0f3&mc_eid=064f5ba168
Et Werner d’ajouter à juste titre » que rien dans cette pandémie ne justifie toutes ces folies« . Précision indispensable à laquelle il convient de rappeler les méthodes statistiques fallacieuses dont se servent les autorités pour faire avancer un agenda au mieux mortifère et au pire génocidaire.
Dès lors, il ne faudra pas s’étonner que des mesures du genre distanciation sociale et autre port de masque ambitionnent finalement la désinsertion sociale de chaque individu petit et grand. Le corollaire de cet axiome est l’interdiction probable de la famille en tant qu’entité privée et personnelle.
Des recensements ont cours actuellement ont pour objectif de cartographier les données de votre foyer avec le but probable d’y faire héberger des tiers. Ça sera une première étape pour décloisonner les foyers. Il est bon de savoir que ces recensements sont gérés par des sociétés privées appartiennent généralement au marché de la finance.
En Suisse, le mandat a été accordé par la Berne fédérale à Demoscope, une société hautement controversée puisqu’elle ne respecte même pas le droit du travail du sol qui l’héberge. Et que fait Demoscope des données accumulés dans sa base de données? Nul ne le sait…
https://www.rts.ch/play/radio/le-journal-du-matin/audio/la-societe-de-sondages-demoscope -geneve-est-dans-le-viseur-du-syndicat-unia?id=8777682
La gouvernance mondiale du 21ème siècle nous renvoie au début du 20ème siècle où les sociétés occidentales étaient dirigées par des eugénistes assumés, dont Hitler était le détestable rejeton.
Le transhumanisme qui se loge derrière les mesures covidiennes remet l’eugénisme sur le devant de la scène sociétale. Chassez le naturel… Bref, au vu des informations que nous détenons, si l’humanité devait laisser faire, ce serait exclusivement de sa faute…
LHK
Oser voir l’évidence– Préface par Slobodan Despot
Nous vivons une époque fabuleuse. Fabuleuse, au sens littéral: tenant de la fable. Effondrements, secousses et révolutions s’enchaînent à une vitesse que notre esprit n’arrive plus à absorber. Ouvrir les réseaux sociaux, les sites de nouvelles et de commentaires ou simplement Twitter s’apparente à un électrochoc. On tombe en tétanie. Comme si trois ou quatre illusionnistes à la fois accaparaient notre attention pendant que des comparses nous vident les poches, ou pire. C’est pourquoi l’exercice le plus difficile, aujourd’hui, consiste à trier ces agressions cognitives, à séparer la matière vive de la vapeur toxique, et à ordonner ce qu’il en reste pour en tirer le sens. C’est à cette étape que vous guette — pour peu que vous ne gardiez pas vos observations par-devers vous — l’étiquette imparable de «complotiste». Le complotisme consistant, en temps de psychose collective, à persister dans la quête du «pourquoi» derrière les miroitements hypnotiques du «comment».
Du point de vue de l’information, de l’intelligence des choses, la fable qui me vient à l’esprit est celle de la Lettre volée d’Edgar Allan Poe. Vous fouillez le tiroir le plus profond, décrochez le dernier rideau, soulevez le moindre tapis — alors que l’objet de votre quête était nonchalamment posé sur le manteau de la cheminée.
Vincent Held est un chercheur de vérité dont l’ingénuité n’est qu’apparente. Il ne fait pas de conjectures, ne nomme pas de «forces cachées» derrière les événements: il se limite à ouvrir les yeux sur le spectacle qui se déroule en pleine lumière et à rendre compte de ce qu’il voit. Encore faut-il avoir le sang-froid et l’acuité visuelle nécessaires pour isoler dans le bruit ambiant les jalons essentiels de la compréhension. Qu’il s’agisse de finances, de réseaux, de santé publique, d’informatique, de surveillance, l’apparente sophistication des processus et de leurs paramètres recouvre une passion vieille comme le monde, aussi nue aujourd’hui qu’au temps des pharaons: le besoin de tout contrôler, tout dominer dans une parodie grotesque de la toute-puissance divine.
Le coup d’Etat technologique global auquel nous assistons en temps réel ne date pas d’hier, on peut dire qu’il est consubstantiel au développement de la société industrielle, et qu’en nous détournant des humanités et de l’humain au profit du calibrage, de la rationalisation et de la cybernétique, nous avons invoqué avec ferveur et sottise les spectres qui aujourd’hui nous terrifient. Car nous avons oublié que le culte scientiste impliquait aussi la désactivation de cet ensemble de valeurs et de vertus qui, au fil du temps, avaient contenu la tentation de la bestialité qu’implique toujours un pouvoir illimité.
Le regard de Vincent est aigu et serein. Il n’extrapole pas, il montre et il décrit ce que beaucoup d’enquêteurs professionnels — universitaires, médiatiques, institutionnels — n’osent plus même regarder. Une telle démarche, aujourd’hui, n’implique pas seulement de la connaissance et de la méthode, mais encore une véritable force d’âme. Slobodan Despot
Informations sur l’ouvrage
Asservissement
De la déshumanisation sociétale à l’esclavage numérique
Intervenants
Slobodan Despot – Nicolas Bonnal- Prof. Philippe Laurent, « la Grande Réinitialisation monétaire »