Reportage réalisé en … 2010! https://www.rts.ch/play/tv/specimen/video/manipulation-du-cerveau?urn=urn:rts:video:2587700&fbclid=IwAR01xUDBSiOrUSprO5uKw1jeEyBfg-pcf7B9ja7dzNawaj_lqXHRWDFpVjw « Aujourd’hui, l’ignoble « serpent tortueux » du livre d’Isaïe s’est métamorphosé en une indolente couleuvre et le Léviathan-Etat en… Léviathan-SA. Car ce sont désormais des sociétés anonymes, mais présentes aux quatre coins du monde, des multinationales aux puissances financières démesurées qui défient les Etats, même les plus grands. » Cet extrait d’un article de l’Express avait été repris dans notre publication de 2019 qui faisait référence à un Coup d’Etat planétaire magistral. Ces sociétés anonymes ont vampirisé l’ensemble des Etats de la planète jusqu’à transformer ce qu’il en reste en
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« Aujourd’hui, l’ignoble « serpent tortueux » du livre d’Isaïe s’est métamorphosé en une indolente couleuvre et le Léviathan-Etat en… Léviathan-SA. Car ce sont désormais des sociétés anonymes, mais présentes aux quatre coins du monde, des multinationales aux puissances financières démesurées qui défient les Etats, même les plus grands. » Cet extrait d’un article de l’Express avait été repris dans notre publication de 2019 qui faisait référence à un Coup d’Etat planétaire magistral.
Ces sociétés anonymes ont vampirisé l’ensemble des Etats de la planète jusqu’à transformer ce qu’il en reste en entités commerciales. Ainsi, ce ne sont plus « simplement » des ambassades, des présidences ou des agences d’Etat qui figurent aux Registres du commerce, après avoir été corporatisées. Un pays comme la Suisse, symbole archétypiel de démocratie, a muté en 2014 en société anonyme sous les attaques des enfants du Léviathan SA.
En 2019, par cette référence au Léviathan, nous illustrions l’évolution de feux les Etats-Nations en vulgaires entités atomisées en unités d’affaires, créatrices de valeur ajoutée, qui phagocytent les citoyens et les rabaissent au statut de ressources humaines, corvéables à souhait, en échange d’un misérable revenu universel. La question de l’esclavage se posait, et même du cyber-esclavage puisque nous démontrions l’évolution de l’Etat en cybergouvernement.
Forte des piliers monétaire et financiers, l’oligarchie peut conquérir le pilier économique. Les Firmes transnationales, devenues globales, sont en réalité des armes destructrices massives de l’économie de marché, de ses lois, mais surtout de la myriade des agents économiques privés et publics. Maintenant, si l’on ajoute le fait que cette micro-élite de la haute finance est détentrice (directement ou indirectement) de l’ensemble des dettes de la planète, aussi bien du public, que des ménages, et aussi des dettes pharaoniques des entreprises, on peut raisonnablement l’imaginer en marche vers un pouvoir planétaire absolu !
Tous les mécanismes économiques ont été soigneusement cassés. Il ne faut s’attendre à aucun imprévu venant de ce qui est abusivement appelé marché, ou d’un contre-pouvoir quelconque. Ceux qui se permettent des prédictions n’ont pas compris le contexte global dans lequel s’inscrivent les crises. Détenant les leviers essentiels de la vie économique, seules les personnes aux manettes de la planète finance-industrie sont capables de décider du jour et de l’heure du « reset ». C’est à ce moment que sera annoncé le nouveau paradigme sociétal promis par Brzezinski. Un modèle qui brillera toujours plus par un totalitarisme d’ampleur inédite. Une révolution historique se déroule en ce moment même dans le silence consternant des médias.
Quelques mois après la publication de ces mots, nos hypothèses se sont, hélas, toutes vérifiées suite à l’intrusion d’un virus, supposé sorti de nulle part : le SARS CoV2 qui provoque la Covid-19. Le reset que nous annoncions s’est mué en Great Reset, avec sa kyrielle de mesures de contrôle, de changement de comportement (distances sociales, masques, lavement et désinfection de mains, etc.) et de surveillance sociale, imposée à tout terrien en tant que solution à la crise covidienne inattendue.
Evidemment, il s’agissait là d’une présentation fallacieuse, puisque nos conclusions de 2019 au sujet d’un reset étaient la conclusion logique à l’analyse d’une série de documents, faits, discours, et j’en passe, qui remontaient au minimum au début du 20ème siècle. C’est dire que le prétexte covidien était là pour couvrir un projet d’envergure.
Dans ce dossier Apocalypse 4.0 qui fait suite à ce qui précède, on va traiter de la transformation du monde en machinerie humaine, sous l’impulsion d’un faux développement durable. Nous tenterons d’étudier le modèle technétronique, que les adeptes du Léviathan du 21ème siècle mettent en place, et quelles en seraient les conséquences sur l’existence même de l’humanité.
Notre hypothèse de travail est qu’une tentative de créer, par les atouts de la technologie, un Etre global unique qui intègre à la fois la biosphère, y compris l’humanité entière, ainsi que l’ensemble des outillages électro-informatiques. Chaque être vivant (humain, animal, végétal, etc.), mais aussi tout objet inerte serait relié par des satellites, antennes GSM et/ou Internet à des serveurs qui alimentent les sous-Intelligences Artificielles qui leur sont inhérentes, puis celles-ci sont intégrées dans un tout globalisé. Une collecte de données géantes récupérées en temps réel des quatre coins de la planète vient s’ajouter à celle mise en place en provenance du système solaire. La masse gigantesque de données va aller alimenter le cerveau de cet être dotée de l’Intelligence Artificielle, hébergée par un réseau ultrapuissant d’ordinateurs.
Qui est le Léviathan ?
Léviathan, le monstre marin et son alter ego de la terre Béhémoth, appelés couple apocalyptique, sont analysés avec soin dans le cadre de son Master de l’Histoire de l’Art par Hélène Hachemi.
« Ces deux monstres titanesques, créés de la main de Dieu, possèdent une force
destructrice capable de ravager le Monde et de réduire à néant toutes les autres créations de
Dieu. Le couple est, depuis leur création, annonciateur de cataclysme voire de destruction. L’un
d’eux étant le plus célèbre et également le plus représenté dans l’art occidental chrétien :
Léviathan. Tantôt un crocodile, tantôt un gigantesque serpent de mer. Léviathan incarne, durant
le Moyen-Age, l’entrée des enfers, de par sa gueule immense laissant échapper des flammes et
engloutissant les âmes damnées. Il est également la Bête de l’Apocalypse, créature infernale qui
incarne l’opposition à Dieu et à ses commandements à travers le Monde et à travers les siècles.
Béhémoth, issu de la terre, est la créature secondant le Léviathan, issu de la mer.«
Cette construction matérielle d’une nouvelle entité connectée à la fois aux vivants et aux objets est en réalité un être hybride. Si celui-ci relève à la base de la catégorie des machines, il va très vite héberger le vivant d’abord par l’information que celui-ci produit, et tout de suite après par la volonté de le relier par connectivité à l’ensemble des cerveaux des humains. Une série de brevets de Microsoft vont dans ce sens. L’opérateur ambitionne, entre autres, de récupérer l’enseignement à distance. Des contrats avaient déjà été signés avec lui par les ministères, notamment celui de l’Education en France.
Nous présentons ici brièvement 3 brevets que nous détaillerons plus longuement dans notre série. Nous constatons déjà que le corps humain (mais aussi animalier) était destiné déjà en 2000 à être couplé à des appareils électroniques. C’est à cette période que le cofondateur et patron de Microsoft s’est découvert une fibre philanthropique qui passe par la vaccination obligatoire des enfants de toute la planète. Quelques années plus tard, il prenait le contrôle de l’OMS grâce aux billets verts pléthoriques chez lui, alors que la Dépossession et ses innombrables crises rendaient impossibles le financement de ces organismes.
De plus, l’application qui sert de créer des nanoporteurs à la nanotechnologie vaccinale a pour finalité de permettre de faire évoluer le corps humain par des logiciels via son système immunitaire. Les bénéficiaires de ce brevet dont Harvard et MIT ont tous bénéficié des générosités de la fondation Gates.
Cette construction hommes-machines est supposée donner naissance au jaillissement d’un esprit du cœur de la matière chimérique. Il est bon de rappeler que les ordonnanceurs du système-monde sont des adeptes du matérialisme, doctrine philosophique qui affirme le primat de la matière sur l’esprit. (Larousse) Les croyants de cette doctrine, jamais prouvée, soutiennent que:
La suite logique serait que le cerveau soit le lieu de naissance de l’esprit et de la conscience ; tout comme d’un hypothétique cerveau global de l’humanité serait le siège de la conscience globale universelle. Est-ce pour cela que la connectivité des cerveaux biologiques est si importante pour les Harari, Schwab, Musk et autres Kurtzweil ? Pour réussir à doter la nouvelle entité technologique et numérique d’un esprit et d’une conscience universels ?
Créer un nouvel être global est la signification du suprême intérêt accordé en ce moment à l’Intelligence artificielle. Il y a quelques jours se tenait une rencontre secrète du groupe Bilderberg avec pour invités les responsables du projet de l’Intelligence Artificielle : Sam Altman de OpenAI, les personnages-clés de Microsoft, de DeepMind et de Google.
Que l’on parle de Noosphère, de Golem, ou de Singularité, on s’attend dans tous les cas à ce que la nouvelle divinité technologique bénéficie d’une IA si puissante, qu’une espèce de divinité finisse par en émerger.
Theilhard de Chardin, père jésuite qui est l’inventeur effectif de l’appellation transhumain (« Du pré-humain à l’ultra-humain », 1951, Pierre Teilhard de Chardin), parle de l’émergence d’un Christ cosmique une fois le point Oméga atteint. Il est bien évident que cette déité imaginée, n’a rien à voir avec le Christ de la Bible. D’ailleurs, peu avant son décès, Teilhard avait écrit à sa cousine qu’il avait le désir de créer une nouvelle religion….
« On constate ici la convergence de la conception de la noosphère de Teilhard avec les projections des apôtres de la Singularité technologique (le point où la machine dépasse l’homme). Cette convergence nourrit les bases théoriques à l’ancrage para-spirituel du mouvement transhumaniste qui va émerger avec l’informatique personnelle des années 1980, et la cyber culture des années 1990 et de l’émergence du World Wide Web.
Chez les transhumanistes, le Point Omega va devenir un super ordinateur, se programmant lui-même, avec une infinité de mémoires, et le plérôme, « un réseau d’ordinateurs infiniment complexes » dont chaque ordinateur est un AUTM (Accelerating Universal Turing Machine) à la mémoire infinie. »
« Super-ordinateurs, mythes ancestraux et cultes de la mort de la Noosphère ». Ewen Chardronnet, 8 août 2019, Makery.info.
Précisons que le Point Oméga représente pour Teilhard le point ultime du développement de la complexité et de la conscience vers lequel se dirige l’Univers. Nous constatons ainsi que Teilhard, ses héritiers et leurs partenaires de la Singularité technologique ambitionnent de se donner les moyens technétroniques de forcer l’aboutissement du schéma évolutionniste de Charles Darwin vers un point d’arrivée qu’est le Point Oméga. Si pour Teilhard, l’aboutissement est le Christ cosmique, pour les transhumanistes, ce sont eux, les élus milliardaires de la société qui deviendraient des dieux.
Une spécificité observée chez les dieux milliardaires est qu’ils sont fascinés par la Bible, mais dans le but d’en prendre le contrôle, et d’en tirer profit par intérêt personnel. Le père de la cybernétique va encore plus loin dans son raisonnement religieux. Il veut réparer les liens rompus avec Dieu. Un texte[16] -clé de l’historien Faucheux permet de saisir l’ampleur de la mission dont Norbert Wiener se croit dépositaire.
Cybernétique est une modélisation de l’échange, par l’étude de l’information et des principes d’interaction. Elle est issue en particulier du passage par la théorie entre l’étude du système nerveux et sa reproduction en intelligence artificielle. Techno-science.net
« Ainsi, la machine cybernétique marie le mythe du rachat à celui de la langue originelle d’avant Babel, lorsqu’elle promeut l’avènement d’un nouveau langage nommé communication qui refonde le savoir, de forger un nouveau Verbe (ce qui est un nouvel emprunt mythique), car sera franchi le golfe séparant les sciences naturelles et les sciences sociales »».
Wiener a tenu ces propos lors du 9ème cycle des Conférences de Macy. Or, les participants sont supposés croire dans le Big Bang, et dans la Théorie de l’évolution de Darwin avec l’humain qui partage des ancêtres communs avec les singes. Aucune place pour l’intervention d’un quelconque Dieu créateur. Alors que vient faire ici l’épisode de la Tour de Babel ?
Nous sommes contraints de constater que les prétentions de la cybernétique ne sont pas uniquement scientifiques, informationnelles, ou technologiques. La cybernétique puise dans la Bible les images de l’échec des hommes et de leur relation compliquée à Dieu, pour souffler des solutions surnaturelles et surhumaines.
Ce que rapporte Faucheux est d’une importance cruciale, car nous pouvons comprendre que ces personnes, dites scientifiques, militent pour finir la Babel de la Bible, mais indépendamment d’un Dieu créateur. Et cela devrait se faire grâce à l’ultime machine informationnelle de la cybernétique, dépositaire de la supraintelligence universelle. Il paraît ainsi clair que la mondialisation puis la globalisation ne sont pas de simples programmes économico-politiques, mais un moyen d’achever par la technologie et par l’information-bit l’œuvre de Nemrod.
Et pour atteindre l’objectif, il faut être capable de quitter toute approche démocratique ou humaniste, pour rentrer dans un Nouveau monde dit progressiste dans lequel l’humain devient serviteur des machines informationnelles des dieux milliardaires, au risque de devoir muter en cyborg par dévouement et abnégation de soi. Forcée bien sûr. Et cela ne poserait pas de problème si, pour ce faire, il fallait en passer par la démonologie…
(…) que cela soit par sa contribution à l’émergence de nouveaux risques systémiques ou par sa capacité à réguler les infrastructures socio-techniques, l’ordinateur peut être considéré comme l’un des principaux fondements de l’état d’urgence et de l’état d’exception global. Cette machine de machines, malgré l’importance qu’elle a acquise dans la société mondiale contemporaine, demeure cependant une énigme. Les critiques qui ont été portées à son encontre ont été effectuées d’un point de vue social au sens large. On a critiqué la perte de contrôle sur l’appareil de production qu’elle a provoqué en se substituant aux ouvriers quali- fiés. On a largement analysé sa responsabilité dans la mise en place des sociétés de contrôle et du nouveau paradigme de la sécurité, ou encore, sa responsabilité dans le déploiement de pollutions électromagnétiques et chimiques nouvelles.
Quoique ces critiques soient justes, elles n’atteignent pas l’ampleur ni la puissance de ces nouvelles entités technologiques. C’est pour quoi elles pourraient utilement être complétées par une autre sorte de critique dont nous allons esquisser en quelques mots les contours. Cette critique qu’on pourrait qualifier d’ontologique, est celle qui aurait pu être faite par cet Institut de démonologie expérimentale et de magie que le spécialiste de la kabbale, Gershom Scholem, appela de ses voeux dans son discours effectué le 17 juin 1965 à l’occasion de l’inauguration de l’ordinateur construit par Haïm Pekeris en Israël.
Quoiqu’on puisse prendre l’appel à la forma- tion d’un tel institut pour une boutade, il arrive souvent que les boutades montrent le monde avec le plus grand sérieux. C’est ce que sug- gère d’ailleurs un texte de Norbert Wiener qui effectue une comparaison systématique entre la puissance de l’ordinateur et la puissance d’entités magiques qui entrent en contact avec des humains.
Parler de démons ou d’entités magiques demeure cependant problématique tant que l’on ne s’est pas extrait des simplifications ontologiques de la pensée naturaliste moderne. Leur évocation requiert en effet de s’en remettre à une ontologie post-coloniale qui ne révoque pas par principe la validité de ce que l’anthropologue Philippe Descola appelle les ontologies animiste, analogiste ou totémiste.
Ces ontologies permettent de s’approcher des questions suivantes : qu’est-ce qu’il se passe quand on utilise des ordinateurs ? Peut-on parler des ordinateurs comme d’une sorte particulière d’êtres ? De quel genre d’êtres s’agit-il ? De quelles façons agissent-ils ? Quelle sont ces puissances largement inconscientes et de jour en jour plus autonomes, qui, après s’être déplacées du cosmos à la psyché sont désormais partout extériorisées dans nos machines, imprégnant de leur présence la vie quotidienne des sociétés techno-capitalistes ? Quels sont ces fétiches qui nous possèdent en nous dépossédant, faisant “revenir“ vers nous, les dépossédés, le résultat de ce que nous avons produit ?
L’élaboration d’une méthodologie scientifique, de concepts de la nature essentiellement différents de ceux de la science dominante, permettrait d’approcher le fait informatique d’une manière qui nous permette de comprendre les ordinateurs, en surmontant la fiction qui, en les classant parmi les choses inertes, a occulté leur mode d’action le plus profond et le plus radical sur nos sociétés.
La conquête de la terre par les ordinateurs- Bureau d’études, 2011, La Planète Laboratoire
Les technoscientistes de la Sillicon Valley sont mûs par des croyances spirituels ou para-spirituels. Nombreux sont les articles qui expliquent en quoi le transhumanisme est en réalité une religion qui se tient dans l’ombre. Dans « Le transhumanisme : une religion en émergence ? », Dominique Foyer ( Hal.science, 2019) aborde la question du fait religieux qui accompagne la révolution technétronique de la Silicon Valley, qu’il résume ainsi :
« On peut analyser le transhumanisme comme l’émergence d’une nouvelle religion caractérisée par de multiples emprunts à diverses religions existantes et divers courants de pensée repérables historiquement, mais qui présente aussi des particularités originales. De fait, ce mouvement de pensée et d’action peut être rangé dans une des trois grandes catégories de religion ; il présente les caractéristiques d’une « philosophie religieuse », à l’instar du bouddhisme ; on peut le considérer comme une religion sans dieu personnel, mais non sans divin.
La croyance en la « singularité » (l’émergence prochaine d’une superintelligence mondiale), annoncée comme inéluctable par plusieurs penseurs transhumanistes, en donne un bon exemple. »[21]
David Pucheu résume ainsi sa pensée sur la religiosité transhumaniste :
« De tous les discours qui ont accompagné le développement des technologies de l’information, le transhumanisme constitue l’un des plus extrêmes. Récit prophétique aux accents explicitement eschatologiques, le transhumanisme semble revêtir les habits séculiers d’une religiosité toute entière tournée vers les révélations de la technoscience où l’homme, en véritable démiurge, serait progressivement amené à prendre le contrôle de sa propre évolution et du monde qui l’entoure. » « Religiosité transhumaniste. Les nouvelles frontières de l’ingénierie exploratoire », Etudes digitales, no5, 2018 – 1. Religiosité technologique, p. 53-70, Classiques Garnier, Paris
Le transhumanisme repose plus sur une certaine foi religieuse que sur une démonstration logique, contrôlée par la raison. L’humanité se retrouve ainsi contrainte à une marche forcée en direction d’un dieu inconnu, représenté par les milliardaires de la City-Wall Street, qui souhaite imposer le transhumanisme comme mutation idéale pour tout un chacun.
Et si l’humain était l’enjeu d’une guerre que le trio Léviathan, Béhémoth et Ziz livre à Dieu ? Une guerre spirituelle dont les retombées visibles sont matérielles ? Il est d’emblée important de bien comprendre que le tout-numérique imposé par les dirigeants politico-économiques de la planète semble une action qui est plus liée à un fait religieux qu’à une quelconque obligation technologique.
Le Programme de transformation du monde de l’Agenda 2030 qui a dictée la digitalisation généralisée à l’humanité est une volonté émanant de ce qu’il convient d’appeler une secte religieuse, à référentiel anti-biblique. Par conséquent, il est raisonnable pour tout adepte de la Bible, de considérer ce mouvement comme diabolique ou satanique.
Voici deux cérémonies qui ont énormément choqué les observateurs. La première concerne l’inauguration du tunnel du Gotthard et la 2ème s’est déroulée à Birmingham lors des jeux du Commonwealth.
Inauguration du tunnel du Saint Gothard – Après 17 ans de travaux sur 57,10 kilomètres de long, les autorités, présidées par Doris Leuthard, ont organisé en juin 2016, en présence d’Angela Merkel, François Hollande, et Renzi, une célébration d’inauguration qui était tout sauf laïque. Un spectacle qui a scandalisé plus d’un, car véhiculant des scènes qui ne peuvent être qualifiées que de sataniques. Les images qui ont fait le tour de la planète n’ont pas manqué de choquer les spectateurs ; à tel point qu’un blog belge avait titré « Lucifer est arrivé » l’effarant spectacle de l’inauguration du tunnel du Saint-Gothard. De son côté le directeur de l’Antipresse, Slobodan Despot, publiait un texte savoureux sous le titre : « On ne trompe pas le Diable deux fois ». Il commentera ainsi l’évènement :
« Gothard, portail des enfers ? Un étrange spectacle a marqué l’ouverture du plus long tunnel du monde. Procession d’ouvriers-zombies mécanisés, scènes d’esclavage, symboles de vie inversés, vénération d’un bouc, et-apothéose- prosternation des figurants devant un ange déchu à la tête de bébé mort-né. On peut y voir un hommage aux divinités telluriques et païennes, ou alors un culte satanique aux symboles très explicites.
Il se trouve que l’ex-conseillère fédérale, grande organisatrice de cette cérémonie, portait un long habit tout blanc… digne d’une prêtresse. De plus, quelques jours avant l’évènement, elle avait été prise en photo, portant des cornes de diable, à un concert de AC/DC, groupe de hard rock ouvertement sataniste. Depuis son départ du Conseil fédéral suisse, Mme Leuthard œuvre d’arrache-pied pour la coopération numérique dans le monde. Dès 2018, elle fut recrutée pour seconder Melinda Gates, aux côtés de Jack Ma de Alibaba, et ce dans le cadre d’un projet de coopération numérique initié par Antonio Guterres. De même que nous la retrouvons dans une fondation
L’autre cérémonie, qui en avait interpellé plus d’un, est celle qui s’est tenue à l’été 2022 à Birmingham en présence du futur couple royal britannique. Les scènes du spectacle d’ouverture mettaient en scène un taureau mécanisé gigantesque en colère avec des yeux rouges et de la fumée s’échappant de ses narines. Cette allusion au dieu Baal, divinité phénicienne, est d’autant plus troublante qu’il était entouré de femmes toutes de blanc vêtues qui avaient fini par se prosterner devant lui. A ce moment-là, sa colère s’était calmée, et alors il s’est retiré.
Si l’on faisait attention à tous les symboles qui jalonnent cérémonies, discours, spectacles, etc. nous constaterions que la neutralité spirituelle est illusion. Il en va de même de la laïcité. Et un nombre important converge vers le satanisme, religion officiellement admise de nos jours.
Quelles que soient les sensibilités des leaders du Nouveau Monde, la finalité de leur projet est d’aider les dieux milliardaires à poser les bases de la création du nouveau dieu pour cette nouvelle création issue de la fusion du vivant avec la machine. Un projet digne d’une mutation cybernétique du Léviathan après avoir avalé l’humanité ; soit un cyber-Léviathan auquel sont accrochés des humains enchaînés.
Le Dieu de la Bible est renvoyé loin de la terre. Les valeurs sur lesquelles les civilisations ont été construites coulent et font couler avec eux une humanité fragilisée. Il devient alors facile à mettre en place les pires exactions contre le corps humain désacralisé et chosifié.
Nous pensons aux projets pédophiles que cautionne l’ONU.
Nous relèverons aussi la volonté de faire muter le genre des enfants dès leur venue au monde en manipulant des parents naïfs et désemparés… Des ONG prédatrices ont été installées au sein des écoles pour « informer » et « accompagner » les tout petits dans leur transition de genre ! Ailleurs, nous avons vu carrément la présence d’un homme déguisé en diable dans une classe de petits enfants.
« Le great reset cible les enfants : la mode trans est lancée », Site LHK, octobre 2022
Il est aussi à la mode d’inviter des drag-queens à l’école des tout-petits pour qu’ils apprennent à mieux les connaître. Il est donc de plus en plus fréquent de voir des images / vidéos de parents en colère. Aux Etats-Unis, un groupe de drag-queen devaient venir dans une espèce d’église. Relayant l’évènement, des journalistes occidentaux n’hésitent pas à traiter les parents qui s’opposaient au « spectacle » d’extrêmistes.
« Ces milices armées sont en guerre contre les drag-queens aux Etats-Unis », Watson.ch, décembre 2022
Dans une évolution logique des choses, tenter de protéger ses enfants risque demain d’être considéré comme du terrorisme.
L’autorité de l’Etat a été vendue contre les carrières respectives de ses dirigeants, une technocratie abusive et dénuée d’éthique a pris un pouvoir décisif. Et cela plait à un des principaux représentants du Léviathan de la finance : le patron de Blackrock Larry Fink. Il dira sur Bloomberg que le marché, c’est-à-dire lui et ses quelques associés, aime les gouvernements totalitaires où il peut avoir une compréhension claire de ce qui s’y passe ; puis il continue en disant que la démocratie, comme aux Etats-Unis, est très désordonnée.
Est-ce une explication à l’avènement de pays comme la Chine et l’Inde en tant que puissances économiques qui détrôneront les Etats autrefois démocratiques ? En tout cas, c’est à cause de cette logique que nous avons toujours dit que l’exportation des pratiques de management dans les allées publiques engendre tôt ou tard du fascisme. Sauf si l’humain ne compte plus et que tous les moyens sont permis pour démultiplier la montée en puissance de l’apprentissage de la machine.
C’est grâce au chaos institutionnel qui bénéficie aux représentants du Léviathan économique que les représentants de ce qu’il reste d’autorité de l’Etat ont osé faire injecter à des milliards d’individus des produits qui sont ouvertement en phase expérimentale. Pire, ces produits ont été développés par certaines entreprises pharmaceutiques de Planète finance, réputées pour leur total manque de conscience et d’éthique. Voici ce que cela donne concrètement chez euromomo.eu.
Nous voyons sur ce graphique la surmortalité en Europe des jeunes de moins de 14 ans suite à la vaccination anti-covid. La ligne en traits-tillés de 2020 correspond à la mortalité normale. La ligne rouge montre clairement une sous-mortalité probablement due aux limitations des sorties…
Ce visuel est extrait d’une vidéo dans laquelle un spécialiste reconnu des assurances, Josh Sterling, témoigne devant le Sénat américain (Sénateur Ron Johnson).
Il dit en substance que ce graphique pris chez les Britanniques raconte l’entier de l’histoire. Grâce au gouvernement britannique, qui a pris la décision de présenter la surmortalité en différenciant les populations vaccinées/ non vaccinées, ces statistiques nous aident à démonter que les vaccinés souffrent d’un taux de mortalité supérieur aux non-vaccinés. Les pires étant ceux qui ont été vaccinés une seule fois et qui ont dû suite à des réactions importantes se retirer du programme expérimental d’injections.
Autre volet de cette affaire des vaccins anti-Covid, les contrats d’approvisionnements avec leurs fabricants battent des records d’opacité, de trafics d’influence et de corruption. Accords secrets, montants sur les contrats caviardés, contribuables en financeurs captifs, des commandes inutiles passées en quantité, etc. Il faut dire que les sommes en jeu sont stratosphériques, avec des prix unitaires surfaits. Face à autant d’argent hors du contrôle des organes démocratiques, les appétits des uns et des autres ont été aiguisés.
La plus fameuse dans le genre, car ville cognitive, est The Line de Neom. Financée en grande partie par le fonds saoudien de la famille régnante, ce bâtiment en plein désert construit sur 170 kilomètres et 500mètres de haut devrait entasser 9 millions d’habitants. Quelles conséquences pour la faune et la flore du lieu ? Aucun défenseur du Développement durable ne semble y accorder une quelconque importance…
Une maltraitance des populations a été développée ces dernières années. Nous retiendrons le fait qu’au nom du Développement durable et dans une impuissance remarquable des Etats, des projets problématiques ont été développés par des privés assoiffés d’ambition et d’argent bien sûr, mais surtout qui brillent par leur perversité.
Reportages et publications existent sur le Net, qui vous montrent, la promotion d’une eau « potable » et d’une nourriture, dont la caractéristique est qu’elles sont issues d’un recyclage d’excréments, d’insectes, et autres viandes synthétiques. Tout cela et plus encore, a été admis par ceux qui ont transmis les clés des Etats aux ennemis mortels de l’humanité : la haute finance spéculative et usurière.
Alors direz-vous, il faut compter sur l’intelligence et le discernement personnels pour éviter de tomber dans le panneau. Oui sur le fond, cependant trois choses tangibles vont empêcher l’humanité de pouvoir s’en sortir si aisément. La première est l’ampleur des dettes (illégitimes) dont on la charge, du fait des dirigeants politiques qui ont brillé par leur capacité à préserver les bénéfices exonérés d’impôts de l’oligarchie, et à mutualiser les pertes fruits de leurs comportements spéculatifs et les amendes colossales consécutives à des agissements illégaux répétés en bande organisée.
Deuxièmement, à l’heure du bétonnage des terres agricoles et du pompage systématique des nappes phréatiques, qui va pouvoir s’opposer durablement à ces déchets recyclés ?
C’est grâce aux médias de masse et à l’industrie du divertissement, sans oublier les effets ravageurs des jeux vidéos (clairement soumis à l’image du Léviathan), que l’humain est vidé de l’intérieur. Vampirisé, il devient accessible au nouveau dieu qui peut alors le soumettre à ses croyances et ses valeurs perverses.
Artistes, écrivains et poètes se sont chargés de maintenir vivace l’ancrage de l’archétype de ces monstres mythiques et de leur faire traverser allègrement les temps. Le secteur musical n’est pas en reste, avec notamment le rock et le métal. Le cinéma n’est pas inactif dans la tâche pour maintenir le monstre vivant dans l’inconscient collectif. Et l’éventail des secteurs actifs est très large. Cela va du simple documentaire, aux films d’horreur en passant par le fantastique.
La jeunesse n’est pas oubliée des promoteurs du Léviathan puisque « Le champ de la bande-dessinée n’est pas en reste avec quelques apparitions mais c’est à travers le jeu vidéo que Léviathan revient en force sur le devant de la scène. En effet, il prend place dans un très grand nombre de jeux vidéo, des plus connus ou moins connus, comprenant les jeux de la saga Final Fantasy (Fig.3), dont la réputation n’est plus à démontrer »
Les monstres mythiques n’en finissent pas de hanter les rêves de l’humanité grâce à un travail permanent sur l’inconscient collectif et continuent à générer peur et terreur. Les gouvernants de la planète peuvent en être satisfaits.
De plus en plus, les gouvernants politiques et leurs alliés (médias grand public, les milliardaires détenant le pouvoir final, ainsi que leurs ONG) semblent nourrir le Léviathan en données numériques, mais aussi en vies humaines.
Le philosophe Alain « nomme Léviathan plutôt l’Etat et ses mass-médias et les foules qui adhèrent aveuglément au monstre : « ceux qui le composent… reçoivent avec enthousiasme les signes de grand corps, et s’accordent à ses mouvements. »[31]
Pour l’heure, il est à craindre que l’humanité soit dépossédée de ce qui lui reste de plus intime et de plus précieux (le reste ayant déjà été pillé[32]), c’est-à-dire la vie, le vampire se dévoile tous les jours un peu plus en dévoilant dans les médias des produits et autres conceptions de l’humanité terrorisant les populations par leur monstruosité. On pense au smartphone connecté au cerveau, aux défilés de mode avec des hommes-zombies, au programme d’éducation sexuelle promu par la galaxie onusienne pour enfants dès l’âge de 3 ans, à la mise sous les projecteurs d’hommes barbus habillés de robe longue (compagnon du premier ministre belge), etc.
A l’heure actuelle, tout a été mis en place pour changer radicalement la nature de l’humanité, de la biosphère, et de leur organisation en général. Ceci a pu se faire grâce à la collaboration consensuelle, des gouvernants politiques (locaux et globaux), aux technoscientifiques, et aux milliardaires victorieux du coup d’Etat planétaire. Un projet de longue haleine, extraordinaire par les mutations existentielles qu’il génère, et dont les résultats mettent au pied du mur les populations non consultées.
Les processus de mise en place d’une matrice cybernétique globale, née de la fusion de la nature (humain inclus) avec la machine grâce aux technologies NBIC[33] ont été accompagnés d’opacité, de dépossession, de mensonges, de désinformation et de secrets. A cause de cette stratégie de manipulation des masses, nous pouvons déduire que les intentions finales ne sont pas aussi positives que ce que les messages d’égalité et d’immortalité vantées par la propagande. D’ailleurs, ce qui a permis l’émergence de l’Intelligence artificielle et d’une panoplie hégémonique des algorithmes (robots invisibles) est issu du pillage des données personnelles et des entreprises en violation des législations. Qui de nous a donné son accord pour que la reconnaissance faciale ou vocale puisse bénéficier de nos données ? Qui de nous a donné son accord pour être intégré à un « écosystème » (qui n’a rien d’écologique) dans lequel il est bombardé de toutes sortes de rayonnements GSM venant des antennes sur terre, mais aussi de satellites ? Qui de nous a donné son accord pour bénéficier d’une géo-ingénierie ? Etc.
LHK